Sous le beau soleil de juin 1940, les Stukas allemands mitraillent les colonnes de civils en fuite. Pris au piège dans leur limousine hors d'usage, quatre amis, modèles de la jeunesse dorée parisienne, trouvent refuge dans une ferme.
Une imprévisible et cocasse partie de campagne commence alors : pour ces oisifs, ces mondains, la rencontre brutale avec des paysans renverse toutes leurs certitudes. L'héritière et le diplomate, le gigolo et la bourgeoise délaissée découvrent la rudesse et l'inconfort d'un milieu insoupçonné. Au bout de quelques jours, qu'en sera-t-il de leur égoïsme et de leurs instincts de privilégiés ?
" C'est drôle, charmant, léger, dans une tradition française du bon mot et de l'insouciance élevés au rang de garde-fous. " Michel Braudeau – Le Monde
Sous le beau soleil de juin 1940, les Stukas allemands mitraillent les colonnes de civils en fuite. Pris au piège dans leur limousine hors d'usage, quatre amis, modèles de la jeunesse dorée parisienne, trouvent refuge dans une ferme.
Une imprévisible et cocasse partie de campagne commence alors : pour ces oisifs, ces mondains, la rencontre brutale avec des paysans renverse toutes leurs certitudes. L'héritière et le diplomate, le gigolo et la bourgeoise délaissée découvrent la rudesse et l'inconfort d'un milieu insoupçonné. Au bout de quelques jours, qu'en sera-t-il de leur égoïsme et de leurs instincts de privilégiés ?
" C'est drôle, charmant, léger, dans une tradition française du bon mot et de l'insouciance élevés au rang de garde-fous. "
Michel Braudeau – Le Monde
Une chronique très réussie sur la France de juin 1940, où quatre mondains parisiens trouvent refuge dans une ferme de la Beauce pendant leur fuite de la capitale.