#fantastique

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Je n'attendais pas grand chose de ce roman mais j'ai été très agréablement surprise. Je crois bien que c'est un de mes coups de cœur de l'année.

Deux petits défauts avant la pluie de compliments : je n'ai pas forcément apprécié la vision de la sororité jalouse et cruelle dépeinte dans ce roman autrement féministe (même si elle est intéressante dans le contexte), et j'ai trouvé le style un peu simple par moments (mais j'ai des goûts compliqués)

Mais par contre l'atmosphère ésotérique, la description des corons (je vis dans un coron, je sais à quel point elle est précise), l'histoire d'amour et le rythme sont absolument parfaits. Le twist autour de la créature de la mine, le romantisme, la vieille Madeleine ont été autant d'éléments qui m'ont tenue en haleine. J'ai lu le roman en une journée à peine et je le recommande chaudement.

#bookreview …

Contenu de la description
Decouvrez mon travail ! Visuels de mes deux Romans L'étreinte du roncier et Le cantique du noyé
Un livre qu'il est bien : de houille et de charbon

"Notre-Dame de Paris" de Victor Hugo en jeu de rôle ? C'est prévu, grâce aux éditions Spectrum, dont ce sera la première création originale, avec, devinez qui ? Emmanuel Roudier aux illustrations. Et pas seul, mais avec Agathe Pitié (dont le style se prêtait idéalement à ce type d'univers) et Lohran. Le jeu se concentre sur la Cour des Miracles et accentue les aspects fantastiques du roman.
https://www.gameontabletop.com/cf5321/notre-dame-de-paris.html

Aujourd'hui sur Blog à part – The Sandman, saison 2

Morpheus est un être intemporel qui règne sur le monde des rêves. Dans cette seconde saison de The Sandman, il va continuer une sorte d’arc de rédemption.

https://erdorin.org/the-sandman-saison-2/

Après avoir beaucoup aimé L’agneau égorgera le lion, il me tardait de retrouver ses personnages dans Les morts posséderont la Terre de Margaret Killjoy, chez Argyll dans la collection RéciFs.
Et c’était vraiment très bien! Dévoré d’une traite, prise par l’intrigue haletante et l’ambiance parfaitement réussie, j’ai adoré ce second opus des mésaventures de Danielle Cain et ses potes anarchistes qui prennent ici tout à fait l’allure d’un Scooby-gang version punk. Sous couvert d’une histoire fantastico-horrifique qui tabasse, Margaret Killjoy donne aussi à réfléchir sur pas mal de sujets, mêlant habilement tragique et divertissement.
Vivement la suite!
Je vous en parle plus en détails sur le blog : https://yuyine.be/node/1343
- Couverture par Anouck Faure -

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Livre posé sur des livres de bibliothèque et des pages volantes de livres, aux côtés d'un mini-chaudron et de petites têtes de morts. La couverture de Les morts posséderont la terre montre une dinosaure en béton devant des bâtiments anciens usés.

"Les abysses", de Rivers Solomon (traduction par Francis Guévremont).

Un roman avec en toile de fond le passé esclavagiste et la traite atlantique qui entreprend d'explorer, par l'imaginaire, des thématiques autour de la place de l'Histoire, du rôle et du poids de la mémoire, de ce qui définit individuellement et collectivement... C'est court, mais c'est dense. C'est aussi plein d'émotions. Le style est brut, tout en étant d'une grande sensibilité.

C'est le premier texte que je lis de Rivers Solomon : je compte poursuivre ma découverte de ses écrits ! (En fait, j'ai déjà continué, car j'ai directement enchaîné avec le recueil "Soif de sang" -même traducteur-, réunissant nouvelles et écrits de non-fiction - et ses textes m'interpellent autant qu'ils me touchent) !

Couverture de "Les abysses", de Rivers Solomon, publié Aux Forges de Vulcain. Illustration par Elena Vieillard. Une silhouette nage dans un océan sombre, au fond duquel s'élèvent des fers et des chaînes qui retenaient des personnes esclavisées.

J’ai lu le tout dernier roman d’Aurélie Wellenstein publié en mai aux éditions Fleuve: La fille du feu.
Il s’agit d’un roman fantastique où nous suivons 3 personnages dont les destins vous s’entrecroiser au coeur des forêts canadiennes. À la fois récit choral et récit de traque, c’est aussi et avant la voix des animaux victimes des feux qui ravagent leurs milieux de vie que ce roman nous offre. Véritable cri d’alerte et d’amour pour le monde sauvage, ce roman nous invite à renouer avec la nature et propose notamment une jeune héroïne d’une incroyable sagesse. J’ai eu quelques regrets concernant la narration mais j’ai été globalement emportée par les messages.
Et je vous en parle un peu plus en détails sur le blog : https://yuyine.be/node/1335

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Livre posé sur une souche d'arbre sur des plumes formant comme des flammes et aux côtés de feuillages et herbes séchées. La couverture de La fille du feu montre une jeune fille marchant dans les flammes entourée d’animaux sauvages

Parce que j’ai adoré ma découverte de Premee Mohamed avec La migration annuelle des nuages et sa suite, j’ai eu envie de la lire dans un autre registre avec Comme l’exigeait la forêt aux éditions L’Atalante.

Conte horrifique, Comme l’exigeait la forêt propose une ambiance oppressante mais envoûtante au coeur de bois bien mystérieux. C’est parti pour une courses contre la montre pour Véris chargée de risquer sa vie pour sauver deux enfants. Derrière cette fable, des réflexions puissantes sur le deuil ou encore la monstruosité. Bien que frustrant par le format trop court, ce récit m’a conquise.

Avis complet sur le blog : https://yuyine.be/node/1332

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Livre posé dans l'herbe sur une souche d'arbre et une pierre avec du lierre et un champignon visibles. A ses côtés une pomme dans laquelle est gravée VR. La couverture de Comme l’exigeait la forêt montre des animaux à moitié squelettiques dont il se dégage de petites lueurs, dans bois sombres et inquiétants.

Le fantastique aux marges (NIFFF 2025)

Aux frontières du réel, le explore les marges géographiques et sociales. Avec 127 films issus de 42 pays, la 24e édition du NIFFF ( International Fantastic Film Festival) a offert, dix jours durant, l’occasion de scruter nos angoisses individuelles et collectives. Et le déficit de sens des sociétés contemporaines. (Manouk Borzakian)

✒️ Par Géographies en mouvement | En accès libre › https://blogs.mediapart.fr/geographies-en-mouvement/blog/140725/le-fantastique-aux-marges-nifff-2025?at_medium=rs-cm&at_campaign=mastodon&at_account=mediapartblogs

Dernièrement j’ai eu la chance de découvrir La reine sirène, un roman de l’autrice Nghi Vo dont les formats courts, dans la saga des Archives des Collines-Chantantes m’ont conquise. Publié chez L’Atalante, ce roman nous emmène dans le Hollywood des années 30 mais teinté de réalisme magique.
Déroutants mais fascinants, tant l’univers que son héroïne nous embarquent dans un récit plein de faux-semblants avec une histoire féministe qui parle de monstres dans tous les sens du terme. Et je vous en parle plus en détails sur le blog: https://yuyine.be/node/1327

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Livre posé à côté des perles bleus et blanches, d'une broche et d'un collier de perles. La couverture de La reine sirène montre un portrait de femme asiatique dans un ton bleuté/noir et blanc, maquillée, chignon et boucle d’oreilles, expulsant de la fumée de sa bouche entrouverte.

Cette semaine, le nouveau roman de Julia Richard publié chez L’Homme Sans Nom est sorti en librairie.
Intitulé Se méfier de l’eau qui dort, le roman nous embarque au coeur d’un petit village lorrain qui semble idyllique mais va vivre des évènements qui vont noircir le tableau. Récit très réussi sur le pouvoir des mots, porté par une héroïne formidable et touchante, ce roman nous emporte sans faillir dans ses flots.
J’ai énormément aimé cette lecture (même si j’ai quand même un petit regret) et je vous en parle plus en détails sur le blog: https://yuyine.be/node/1326

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[Livre reçu en service de presse, publication non rémunérée]

Livre posé sur un rondin de bois entouré de pierres, de mousse, d'épices et herbes séchées et de fleurs séchées. La couverture de Se méfier de l’eau qui dort montre un personnage aux traits féminins, allongé dans une rivière un peu agitée. Des particules dorées parsèment la page et accompagnent la dorure brillante du titre et du nom de l’autrice.

C'est une histoire qui a fait couler beaucoup d'encre et fait frissonner des générations entières. L'affaire du Poltergeist d'Enfield, survenue en 1977, est-elle la preuve ultime que le surnaturel existe ? Bruits étranges, objets projetés, témoignages déroutants… ou bien une supercherie savamment mise en scène ?

https://mesplaisirs.com/laffaire-du-poltergeist-denfield-mythe-ou-realite/