Review of "Harry Dickson, d'après Jean Ray, tome 3 " on 'Goodreads'
Décidemment, les nouvelles de Jean Ray ne m’interpellent pas le moins du monde. Il n’y a d’épouvantable que l’ennui que sa lecture m’a procuré. Si le style est toujours aussi attrayant, le fond me laisse perplexe, les histoires sont d’une banalité déconcertante, sans aucun suspens, (mais peut-être que leur brièveté y est pour quelque chose). Je ne retrouve rien de ce que j’ai aimé dans Malpertuis, mais j’ai l’impression de relire Les contes du whisky. Je me rabattrai donc un jour prochain sur son autre roman, La cité de l’indicible peur.