Doyle reviewed La bête contre les murs by Edward Bunker
None
4 stars
J'avais vu le le film il y a de cela plusieurs années avec un bon souvenir et je connaissais Edward Bunker pour Aucune bête aussi féroce que j'avais beaucoup aimé. Dans ce dernier, la vie post-carcérale semble une détention en soi où la réinsertion sociale est impossible puisque tout casier provoque la déchéance sociale. Ici, on semble tomber en Enfer où sourire est impensable, refuser la ségrégation raciale vaut la mort/le viol et toute justice est simulacre et donc synonyme d'espoirs vains qui tuent à petit feu.
La relation des deux prisonniers, évolutive et ambigüe, est très touchante et aurait mérité peut-être plus une adaptation sous forme de série que d'un film d'1h30.
J'avais vu le le film il y a de cela plusieurs années avec un bon souvenir et je connaissais Edward Bunker pour Aucune bête aussi féroce que j'avais beaucoup aimé. Dans ce dernier, la vie post-carcérale semble une détention en soi où la réinsertion sociale est impossible puisque tout casier provoque la déchéance sociale. Ici, on semble tomber en Enfer où sourire est impensable, refuser la ségrégation raciale vaut la mort/le viol et toute justice est simulacre et donc synonyme d'espoirs vains qui tuent à petit feu.
La relation des deux prisonniers, évolutive et ambigüe, est très touchante et aurait mérité peut-être plus une adaptation sous forme de série que d'un film d'1h30.