Comte reviewed Lélia by George Sand (Folio -- 3911.)
Review of 'Lélia' on 'Goodreads'
3 stars
J'ai enfin terminé Lélia, qui me hantait depuis plusieurs mois. Le plaisir de lecture de l'ensemble était très faible. Mais le niveau de banger de certains extraits ? Endurer des pages - il faut le dire... vraiment chiantes - prenait tout son sens à la découverte régulière de phrases, de paragraphes absolument marquants. Même lorsqu'un nouveau texte a commencé à l'achèvement du premier. Eh oui, il y a deux versions de Lélia. C'était long.
Ce n'est pas un roman que je conseillerais si vous voulez lire un roman. C'est un roman que je conseillerais si vous le mal de vivre au XIXe siècle vous passionne et que vous aimez qu'il ne se passe rien, jusqu'à ce qu'il se passe quelque chose, pour qu'il ne se passe rien à nouveau ensuite. C'est mon cas, et ça a été douloureux, mais ça a aussi été incroyable.
"Qu'est-ce donc cette âme …
J'ai enfin terminé Lélia, qui me hantait depuis plusieurs mois. Le plaisir de lecture de l'ensemble était très faible. Mais le niveau de banger de certains extraits ? Endurer des pages - il faut le dire... vraiment chiantes - prenait tout son sens à la découverte régulière de phrases, de paragraphes absolument marquants. Même lorsqu'un nouveau texte a commencé à l'achèvement du premier. Eh oui, il y a deux versions de Lélia. C'était long.
Ce n'est pas un roman que je conseillerais si vous voulez lire un roman. C'est un roman que je conseillerais si vous le mal de vivre au XIXe siècle vous passionne et que vous aimez qu'il ne se passe rien, jusqu'à ce qu'il se passe quelque chose, pour qu'il ne se passe rien à nouveau ensuite. C'est mon cas, et ça a été douloureux, mais ça a aussi été incroyable.
"Qu'est-ce donc cette âme que vous m'avez donnée ? Est-ce là ce qu'on appelle une âme de poète ? Plus mobile que la lumière et plus vagabonde que le vent, toujours avide, toujours inquiète, toujours haletante, toujours cherchant en dehors d'elle les aliments de sa durée et les épuisant tous avant de les avoir seulement goûtés ! O vie, ô tourment ! tout aspirer et ne rien saisir, tout comprendre et ne rien posséder !"