Zéro Janvier reviewed Fence, Vol. 2 by C.S. Pacat (Fence, #2)
Review of 'Fence Vol. 2' on 'Goodreads'
4 stars
Fence est une série de comics scénarisée par C.S. Pacat et illustrée par Johannna The Mad. Elle se déroule dans l’univers de l’escrime, un sport que j’ai rarement vu que ce soit dans les bandes dessinées ou dans les dessins animés inspirés de mangas. Elle met en scène des adolescents américains qui veulent tous intégrer l’équipe d’escrime de leur lycée.
Le deuxième album regroupe les numéros 5 à 8 des comics. Il reprend le récit où il s’était arrêté à la fin du premier album : les sélections pour l’équipe d’escrime du lycée battent leur plein et des favoris commencent à se distinguer.
Seiji commence à impressionner sérieusement ses camarades, qui n’apprécient pourtant pas son arrogance et son côté solitaire. Quant à Nicholas, il continue à se battre pour prouver sa valeur et se montrer digne d’intégrer l’équipe. Des personnages secondaires du premier album gagnent également en épaisseur dans ce …
Fence est une série de comics scénarisée par C.S. Pacat et illustrée par Johannna The Mad. Elle se déroule dans l’univers de l’escrime, un sport que j’ai rarement vu que ce soit dans les bandes dessinées ou dans les dessins animés inspirés de mangas. Elle met en scène des adolescents américains qui veulent tous intégrer l’équipe d’escrime de leur lycée.
Le deuxième album regroupe les numéros 5 à 8 des comics. Il reprend le récit où il s’était arrêté à la fin du premier album : les sélections pour l’équipe d’escrime du lycée battent leur plein et des favoris commencent à se distinguer.
Seiji commence à impressionner sérieusement ses camarades, qui n’apprécient pourtant pas son arrogance et son côté solitaire. Quant à Nicholas, il continue à se battre pour prouver sa valeur et se montrer digne d’intégrer l’équipe. Des personnages secondaires du premier album gagnent également en épaisseur dans ce deuxième album, comme Aiden, le play-boy dont la nonchalance cache un réel talent d’escrimeur, ou Harvard, le capitaine historique de l’équipe, désormais menacé par le talent de Seiji.
Le récit ne présent presque aucune surprise, il semble cousu de fil blanc, mais c’est tout de même plaisant à suivre. Il y a toujours des allusions plus ou moins appuyées à l’homosexualité de certains personnages, ou en tout cas un sous-texte plus ou moins évident. Quant aux dessins, ils sont toujours aussi réussis, dans un style mi-comics mi-manga que j’apprécie particulièrement.
J’ai dévoré les deux albums en trois jours et je dois maintenant attendre le mois de juillet, me semble-t-il, pour la parution du troisième tome qui compilera les quatre numéros suivants de la série. J’ai hâte !