Paperback, 276 pages
English language
Published July 10, 2003 by Echo Library.
The tranquil atmosphere of the cathedral town of Barchester is shattered when a scandal breaks concerning the financial affairs of a Church-run almshouse for elderly men. In the ensuing furore, Septimus Harding, the almshouse's well-meaning warden, finds himself pitted against his daughter's suitor Dr John Bold, a zealous local reformer. Matters are not improved when Harding's abrasive son-in law, Archdeacon Grantly, leaps into the fray to defend him against a campaign Bold begins in the national press. An affectionate and wittily satirical view of the workings of the Church of England, The Warden, the first of the Barchester Chronicles, is also a subtle exploration of the rights and wrongs of moral crusades and, in its account of Harding's intensely felt personal drama, a moving depiction of the private impact of public affairs.
See my web site for a full review of “Paid to Kneel”.
I read a recent article (I can't remember where) about Trollope's current popularity ... so, I started with the first in the Barsetshire series. Pleasant enough, and I see that the conflicts do seem transposable to modern times. There are some nice Victorian word choices including benison for blessing, ribands for ribbons, appanage and cellaret. I think in the first few pages the word 'close' was used in three different meanings that I was unfamiliar with. Unfortunately, I found Mr. Harding somewhat reminiscent of one of the too good characters in Uncle Tom's Cabin, but I intend to carry on.
A nicely written story, Anthony Trollope certainly paints a beautiful picture in describing the city of Barchester. You are easily transported there and are able to picture the characters in this story.
The story itself is a bit bland, it plods along and achieves very little which is a shame. The conclusion though is brilliant, you get informed of the future of all the characters, even minor ones.
This book is part of a trilogy, I think I will be giving book 2 a go, just for the chance to revisit Barchester.
Trollope est l’un des plus populaires auteurs anglais du XIXème, largement adapté à la télévision, mais reste très peu traduit chez nous. Le directeur est le premier volume de la série Chronicles of Barsetshire, dont seuls les deux premiers volumes sont actuellement disponibles en français.
L’histoire est très basique, l’intrigue simpliste, sans beaucoup d’action ni rebondissements. L’intérêt du roman réside dans les personnages, l’étude de mœurs et du milieu ecclésiastique, dont Trollope nous donne un brillant aperçu. Scandales au sein de l’Église, religieux nantis aux dépens des plus démunis, injustices, ce sont les thèmes principaux du récit. On assiste à la prise de conscience d’un ecclésiastique naïf, de bonne foi, mais parvenu à un niveau d’aisance qu’il estime ne pas mériter. On y voit aussi une rapide critique de la presse, plus portée sur le sensationnel que sur la vérité. L’ensemble se lit agréablement mais donne l’impression de ne lire …
Trollope est l’un des plus populaires auteurs anglais du XIXème, largement adapté à la télévision, mais reste très peu traduit chez nous. Le directeur est le premier volume de la série Chronicles of Barsetshire, dont seuls les deux premiers volumes sont actuellement disponibles en français.
L’histoire est très basique, l’intrigue simpliste, sans beaucoup d’action ni rebondissements. L’intérêt du roman réside dans les personnages, l’étude de mœurs et du milieu ecclésiastique, dont Trollope nous donne un brillant aperçu. Scandales au sein de l’Église, religieux nantis aux dépens des plus démunis, injustices, ce sont les thèmes principaux du récit. On assiste à la prise de conscience d’un ecclésiastique naïf, de bonne foi, mais parvenu à un niveau d’aisance qu’il estime ne pas mériter. On y voit aussi une rapide critique de la presse, plus portée sur le sensationnel que sur la vérité. L’ensemble se lit agréablement mais donne l’impression de ne lire qu’une introduction.
Trollope est un auteur que j’envisage d’approfondir, certainement en VO vu le petit nombre de traductions disponibles.
