19h59

by

Hardcover, 180 pages

français language

Published by Grasset Et Fasquelle.

(3 reviews)

Encore quelques secondes et les Français sauront qui les dirigera pour cinq ans. Neuf jours avant le second tour, Philippe Rex, un magnat multimilliardaire, propriétaire de la chaîne Rex News, est kidnappé au coeur même de son empire. Sur Twitter surgit une photo de l'otage, menacé au bord d'une rivière. L'exigence du ravisseur, un survivaliste aux motivations troubles ? Un débat en direct avec le président de la République, pour faire entendre la voix des sans-voix. Ainsi déraille la politique, emportée par les extrêmes, les mensonges d'estrades, la manipulation. Et la passion cynique de notre époque. Huit, sept, six, cinq... Le compte à rebours est enclenché. Jour après jour, au rythme trépidant de ce suspense politique, médiatique et policier, nous voilà emportés dans les coulisses de l'État d'urgence et de la société du spectacle, dans le repaire de l'éminence grise des présidents, maître secret de la République ; au bureau …

1 edition

reviewed 19h59 by David Dufresne

Livre divertissant, mais un peu attendu d'un grand monsieur du journalisme

On connaît David Dufresne (Davduf) pour ces couvertures des violences policières et des répressions des manifestations (e.g. le documentaire "Une France qui se tient sage", on le connaît maintenant comme écrivain. Une histoire un peu attendu, sans grande surprise finalement d'un coup de semonce politique le jour des élections présidentielles. J'espérais mieux de ce premier (?) livre. Je n'en reste pas moins fan de son travail.

reviewed 19h59 by David Dufresne

Ma critique de "19h59" de David Dufresne

Un livre qui raconte comment une élection présidentielle est bouleversée par l’enlèvement du président d’une chaîne d’opinion continue.

Je ne suis pas fan de l’écriture, très hachée, et c’est un bouquin qui va avoir du mal à vieillir. On reconnaît (en ce moment) les personnages fictifs associés aux personnages réels, et les événements très proches de la réalité. J’ai l’impression que l’auteur a voulu s’offrir une forme de catharsis en l’écrivant. Je suis toujours admiratif qu’on l’on puisse écrire un livre, mais celui-ci n’est pas ma tasse de thé.

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