Days before his release from prison, Shadow's wife, Laura, dies in a mysterious car crash. …
Quasiment terminé. Je ressens un amusement que je n’avais pas encore rencontré dans aucun autre livre. L’humour des personnages est exceptionnel, et le mystère sur chacun d’eux plane sans cesse, nous laissant penser à chaque instant à un retournement facétieux de la part de l’auteur.
Je n’ai pas lu jusqu’ici d’autres livres de Neil Gaiman.
Ici, il y a des dragons. Il y a des enchanteurs, une mer immense et …
Un univers nouveau, une narration très dynamique à la description très succincte, rapide et menée à l’essentiel des actions, ce qui est inhabituel face à des lectures précédentes, mais qui permet d’aborder beaucoup des actes des personnages et de découvrir beaucoup de lieux.
Première lecture d’une œuvre de cette auteure, et j’ai très envie de lire la suite des récits de Terremer.
Dates de début et de fin de lecture approximatives, modulo les souvenirs.
It was January 2021, and Rick Deckard had a license to kill.
Somewhere among the …
Une très chouette lecture.
L’univers post-apo dans lequel la race humaine est presque la seule survivante sur cette Terre polluée & radioactive, parait curieusement vaste tant sa description parcimonieuse sert davantage au récit qu’à une volonté de description exhaustive, mais il sait se montrer laid, dur, triste & indésirable.
J’aurais bien voulu un plus long développement du récit sur le manque d’empathie et de chaleur des androïdes, alors qu’ils sont proches d’être intégralement humanoïdes.
Jusqu’à quand le blade runner, humain, peut-il accepter de continuer à tuer plus froidement encore que l’est un androïde, ces Nexus 6 expliquant avoir fui Mars pour échapper à dureté de la vie et à la tyrannie des dirigeants humains sur la planète rouge ? Jusqu’à quand les blade runners peuvent accepter d’éradiquer ces androïdes incontestablement dangereux mais cherchant la paix, pour lesquels ils peuvent ressentir des sentiments et désirs censés n’exister qu’entre humains ?
Un …
Une très chouette lecture.
L’univers post-apo dans lequel la race humaine est presque la seule survivante sur cette Terre polluée & radioactive, parait curieusement vaste tant sa description parcimonieuse sert davantage au récit qu’à une volonté de description exhaustive, mais il sait se montrer laid, dur, triste & indésirable.
J’aurais bien voulu un plus long développement du récit sur le manque d’empathie et de chaleur des androïdes, alors qu’ils sont proches d’être intégralement humanoïdes.
Jusqu’à quand le blade runner, humain, peut-il accepter de continuer à tuer plus froidement encore que l’est un androïde, ces Nexus 6 expliquant avoir fui Mars pour échapper à dureté de la vie et à la tyrannie des dirigeants humains sur la planète rouge ? Jusqu’à quand les blade runners peuvent accepter d’éradiquer ces androïdes incontestablement dangereux mais cherchant la paix, pour lesquels ils peuvent ressentir des sentiments et désirs censés n’exister qu’entre humains ?
Un aperçu en est fait, mais je m’attendais à voir des réflexions poussées comme le sont les démonstrations riches & variées des brèches possibles des lois de la robotique dans le cycle des robots d’Asimov. Il faut croire que j’en attendais trop.
Seul tome disponible sur OpenLibrary, j’ai néanmoins débuté il y a quelques années la lecture de la série, et suis en train de la continuer.
Actuellement: Tome 5