Llaverac rated Le burn out: 3 stars

Le burn out by Danièle Linhart, Zoé Thouron
Pourquoi, alors que nous pensions que le travail était devenu bien moins pénible qu'aux siècles derniers, les burn out, les …
Currently interested in indigenous perspectives, queer perspectives, sci-fi (who would have known?), economics and gardening (forest gardens particularly), sprinkled with comics [he/him]
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Pourquoi, alors que nous pensions que le travail était devenu bien moins pénible qu'aux siècles derniers, les burn out, les …
Chacun doit désormais veiller en permanence à faire l'usage de lui-même le plus efficace, le plus rentable, quelles que soient les situations de travail de plus en plus incertaines et fluctuantes, en s'infligeant la philosophie d'économie systématique des temps et des coûts.
— Le burn out by Danièle Linhart, Zoé Thouron (48%)
Assez mitigé sur cet ouvrage. D'un côté, le récit remet bien en perspective l'évolution des pratiques managériales ces dernières décennies et comment on a pu en arriver à des situations comme celles pointées du doigt par la citation ci-dessus (dans laquelle je me retrouve totalement). J'ai également apprécié la critique de la recherche du bien-être au travail, spécifiquement de la façon dont on peut se préoccuper des employés côté personnel, mais sans pour autant apporter de solutions côté professionnel. Exemple : ça me fait une belle jambe qu'on fasse un escape game tous ensemble si l'organisation du travail me mine parce qu'elle n'a pas de sens et qu'elle, on n'y touche pas.
Le pire c'est que les salariés n'y comprennent plus rien... Que leur arrive-t-il puisqu'on s'occupe bien d'eux ? Pourquoi sont-ils quand même si malheureux ? (81 %)
D'un autre, je trouve que le propos pêche par excès …
Assez mitigé sur cet ouvrage. D'un côté, le récit remet bien en perspective l'évolution des pratiques managériales ces dernières décennies et comment on a pu en arriver à des situations comme celles pointées du doigt par la citation ci-dessus (dans laquelle je me retrouve totalement). J'ai également apprécié la critique de la recherche du bien-être au travail, spécifiquement de la façon dont on peut se préoccuper des employés côté personnel, mais sans pour autant apporter de solutions côté professionnel. Exemple : ça me fait une belle jambe qu'on fasse un escape game tous ensemble si l'organisation du travail me mine parce qu'elle n'a pas de sens et qu'elle, on n'y touche pas.
Le pire c'est que les salariés n'y comprennent plus rien... Que leur arrive-t-il puisqu'on s'occupe bien d'eux ? Pourquoi sont-ils quand même si malheureux ? (81 %)
D'un autre, je trouve que le propos pêche par excès de caricature par moments, comme le passage où une vieille employée de bureau se retrouve déboussolée car sa plante verte favorite a changé de place. Bien sûr, c'est une métaphore pour parler de changements d'organisation du travail dont on ne comprend pas tellement bien le sens, mais l'argument derrière aurait été plus percutant s'il avait été illustré par un exemple précis.
Ayant été manager intermédiaire récemment (donc manager et employé à la fois), je reste de manière générale sur ma faim face à des représentations où il y a d'un côté les employés, et de l'autre les patrons / la DRH / le management, comme s'il s'agissait de deux groupes mutuellement exclusifs. Quid de la volonté sincère de bien traiter son équipe, de proposer le management qu'on aurait aimé avoir par exemple ? Le récit donne des pistes en montrant les limites des objectifs individuels, ou celles de l'empathie pour la personne quand on a besoin d'actions concrètes sur l'organisation du travail, mais ça reste assez maigre.
Prix Pèlerin du témoignage 2021
Célia est une jeune infirmière de 27 ans qui a vécu la première vague de …
Evoque divers moments de la vie de Jacques Fleurentin, en effleurant beaucoup d'aspects de son étude des plantes médicinales mais sans les approfondir. La narration n'est pas un modèle de clarté non plus.
It's not the best manga ever: the pacing could be better for instance, and the way some chapters end feels wonky. I like it a lot anyway, because the art looks great, the titular ramen wolf is really cute and I love how INTENSE he is about the things he love (i.e. ramen). And I appreciate how earnest the story is, which makes me forget that the storytelling could be better.
I thought I would like it more, given its reputation? (I'd give it a: ★★★☆☆)
To be fair, it's not every day that you read a story about a murderbot with a dry sense of humor and whose aim is to half-ass its job as much as possible to watch serials in peace (but who gets attached to its human clients more than it thought it would). Maybe it just hit different after having being exposed to the concept of "quiet quitting" many many many times on social media.
At the end of the free sample I thought that the setting was great but I sometimes had a hard time finding the behavior of the characters credible.
I finally read the whole thing for the aforementioned setting and my opinion stayed the same: I would read more stories about enchanted forests and faes, but it would be nice if I wasn't often wondering "why on Earth does he behave like that? that makes no sense??"
I had a hard time really getting into the story: during the first half I was mostly pushing through, telling myself that it was only ~100 pages long and that, at least, it would be over soon.
BUT there's a very subtle story that unfolds slowly, and that gets very satisfying at the end. I was glad I didn't drop the book and will read the next one in the series!
Real life isn’t a fairytale.
But Tiến still enjoys reading his favorite stories with his parents from the books he …
Emissary Thresa will be executed on return to his King. Before his death, he visits the temple of his birth. …
Seen mentions of it several times, the last one was on Sluggish.
Devon Price mentioned it on Tumblr and it's time I read something substantial about harm reduction.
Harm Reduction is one of the most important interventions of the 20th century, and yet a compilation of its critical …
Still deep into my Qigong / Taiji hyperfixation.
This one was easy to read, with some dated/questionable advice, but we're talking about a book published in the 90's, about a guy who was the author's taiji teacher in the 60-70's.
There were also some metaphors that I really liked, e.g. the passages about the cat-like alertness: being relaxed, but not slumped, and alert at the same time.