Pas la plus joyeuse des lectures mais toutes les lectures ne doivent pas l’être. Belle écriture et heureux de connaitre certaines références de l’auteur Boulgakov, Camus. Témoignage poignant malgré la mort omniprésente, ironiquement c’est l’annonce de sa mort imminente qui donne enfin un sens et à sa vie surpassant la dépression d’avoir été prisonnier d’une éducation bourgeoise mortifère. J’ai aussi beaucoup pensé à Stefan Zweig durant cette lecture et son autobiographie Le Monde d’Hier.