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Stephen King: Joyland (Paperback, 2011, Random House Mondadori (Debolsillo)) 4 stars

Verano de 1973. Carolina del Norte. El joven universitario Devin Jones consigue trabajo en un …

Review of 'Joyland' on 'Goodreads'

4 stars

Un petit King à se mettre sous la dent, c'est toujours sympa. Avant le prochain, attendu pour l'automne. Le jeune Devin Jones trouve un job d'été dans un parc d'attraction indépendant, où l'ombre d'un meurtre plane encore. Ou plus exactement le fantôme d'une demoiselle assassinée quelques années plus tôt. Ça, c'est pour l'anecdote, car finalement, l'histoire du fantôme reste relativement en marge de l'intrigue principale, qui n'est pas policière, même si la résolution d'une non-enquête clôt roman. C'est confus ? C'est pas grave. Bref, beaucoup de nostalgie dans Joyland, un parc qui essaie de survivre malgré la concurrence dysneyienne, un sexagénaire qui relate sa première déconvenue amoureuse, les amours naissantes, et patati et patata. C'est joli, c'est triste et beau, c'était les années 70. Notre jeune héros va se découvrir tout au long de son deuil amoureux et de son expérience au sein du parc. Un bon King, une lecture agréable et prenante, mais pas le King de l'année non plus, ni de la décennie, ne rêvons pas.