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Wilkie Collins: The woman in white (2003, Penguin Books)
671 pages
English language
Published Aug. 22, 2003 by Penguin Books.
The Woman in White famously opens with Walter Hartright's eerie encounter on a moonlit London road. Engaged as a drawing master to the beautiful Laura Fairlie, Walter is drawn into the sinister intrigues of Sir Percival Glyde and his 'charming' friend Count Fosco, who has a taste for white mice, vanilla bonbons and poison. Pursuing questions of identity and insanity along the paths and corridors of English country houses and the madhouse, The Woman in White is the first and most influential of the Victorian genre that combined Gothic horror with psychological realism.
(not provided)
So far, I'm unimpressed. But I've really just started…
I am no longer unimpressed! I found the beginning boring, but the tie in later was good. This story, overall, was intriguing and engaging. My only disappointment in the end turned the Countess, but I can't go into details without making my review a partial spoiler, which I really don't want to do. I have read that this book and The Moonstone by the same author are the 1st 2 examples of ministries in English language novels. Although they are not either one "murder mysteries", they certainly both have mystery bases, and the way the story is presented and wound around is quite intriguing. I think I need to reread The Moonstone now it's been so long since I read it. It's kind of nice and refreshing to go back and read old classics…
So impressed with how well Wilkie Collins managed multiple authentic voices in this. Strayed a bit in the denouement.
(My rating is 3.5)
Written in 1859, this tome is considered to be one of the earliest detective novels. Overall, I enjoyed it, though I found the pacing to be inconsistent; some parts were riveting, while other parts seemed to drag. Wilkie Collins creates some interesting characters, particularly one Count Fosco. The plot is intriguing, and I'd be interested in seeing the 1982 version of the movie.
Je pensais mettre une semaine au moins pour lire ce pavé à l’écriture minuscule, que nenni !
J’ai dévoré cette brique de 554 pages ! Le style de Wilkie Collins est tout simplement délicieux, on plonge dans une autre époque, on redécouvre les mœurs d’une Angleterre victorienne passablement arriérée. Si l’histoire parait de prime abord assez simpliste, l’intrigue est habilement mise en place, le suspens et l’action prennent leur temps, les événements suivent leur cours à leur rythme. L’histoire est racontée par différents personnages et chacun a sa propre manière et son propre style. La noirceur du roman réside dans la psychologie des personnages et de la mentalité de l’époque. La perversité des relations humaines est illustrée à merveille par Collins. Le dénouement est certes prévisible mais c’est le déroulement des faits qui m’émerveille, plus que la solution de l’intrigue elle-même.
J’avais bien aimé Voie sans issue, écrit avec Charles …
Je pensais mettre une semaine au moins pour lire ce pavé à l’écriture minuscule, que nenni !
J’ai dévoré cette brique de 554 pages ! Le style de Wilkie Collins est tout simplement délicieux, on plonge dans une autre époque, on redécouvre les mœurs d’une Angleterre victorienne passablement arriérée. Si l’histoire parait de prime abord assez simpliste, l’intrigue est habilement mise en place, le suspens et l’action prennent leur temps, les événements suivent leur cours à leur rythme. L’histoire est racontée par différents personnages et chacun a sa propre manière et son propre style. La noirceur du roman réside dans la psychologie des personnages et de la mentalité de l’époque. La perversité des relations humaines est illustrée à merveille par Collins. Le dénouement est certes prévisible mais c’est le déroulement des faits qui m’émerveille, plus que la solution de l’intrigue elle-même.
J’avais bien aimé Voie sans issue, écrit avec Charles Dickens, mais j’ai adoré La Dame en blanc.