it was charming, fascinating
5 stars
I couldn't stop reading, really. for some reason, I love family sagas, especially the ones filled with mystery like this one I loved this book
Hardcover, 416 pages
English language
Published Sept. 12, 2006 by Atria.
The Thirteenth Tale (2006) by Diane Setterfield is a gothic suspense novel, the author's first published book.
I couldn't stop reading, really. for some reason, I love family sagas, especially the ones filled with mystery like this one I loved this book
This reminded me of Wuthering Heights, in a post-television-era sort of way. I really enjoyed reading it, though I wasn't entirely happy with the ending. Very good, though. Time to reread the Brontës, I think.
A mystery, set sometime in the twentieth century, whose protagonists are lovers of literature, 19th-century novels in particular.
La claque ! Attention ce livre est une merveille. Diane Setterfield raconte avec une aisance et une classe rare. L’histoire est déjà originale en elle-même. Une jeune libraire amoureuse des livres en général et des auteurs morts en particulier est sollicitée par un auteur de best-sellers pour écrire sa biographie. L’auteur en question est une vieille femme pour qui la vérité est multiple, aléatoire et pas toujours fiable. Elle s’engage toutefois à ne confier que la vérité à Margaret, qui devra décortiquer son récit et faire la différence entre conte et réalité.
L’histoire est foisonnante, Margaret, la narratrice, a sa propre histoire, assez lourde et douloureuse pour donner un sens particulier à ses entrevues avec Vida Winter. Celle-ci lui raconte sa vie, peuplée de personnages inquiétants, mystérieux, mais terriblement humains. L’ambiance, les allusions, certains faits font penser à d’autres chefs-d’œuvres de la littérature anglaise (les sœurs Brontë, Daphné du Maurier …
La claque ! Attention ce livre est une merveille. Diane Setterfield raconte avec une aisance et une classe rare. L’histoire est déjà originale en elle-même. Une jeune libraire amoureuse des livres en général et des auteurs morts en particulier est sollicitée par un auteur de best-sellers pour écrire sa biographie. L’auteur en question est une vieille femme pour qui la vérité est multiple, aléatoire et pas toujours fiable. Elle s’engage toutefois à ne confier que la vérité à Margaret, qui devra décortiquer son récit et faire la différence entre conte et réalité.
L’histoire est foisonnante, Margaret, la narratrice, a sa propre histoire, assez lourde et douloureuse pour donner un sens particulier à ses entrevues avec Vida Winter. Celle-ci lui raconte sa vie, peuplée de personnages inquiétants, mystérieux, mais terriblement humains. L’ambiance, les allusions, certains faits font penser à d’autres chefs-d’œuvres de la littérature anglaise (les sœurs Brontë, Daphné du Maurier etc). Le roman traite de sujets psychologiquement passionnants, les secrets de famille, l’abandon, la séparation, la mort, la gémellité, l’autre. Sujets et traitement exemplaires. L’écriture de Diane Setterfield est délicieuse, raffinée, intelligente. On entre dans l’histoire et on n’en ressort pas, piégé dans les méandres d’Angelfield. La vérité prend plusieurs chemins et comme Margaret on s’égare, on croit trouver l’issue, pour ensuite repartir dans l’autre sens. On n’échappe ni au côté romanesque ni à la petite larme qui scintille au coin de l’œil lorsqu’on referme le livre. C’est beau, et émouvant juste ce qu’il faut pour ne pas être mièvre, et haletant comme un polar. Le charme anglais sous sa plus belle forme.
Entre l’enquête et l’étude de mœurs, le roman gothique et les sagas familiales, Le treizième conte est un merveilleux moment de lecture, qui éveille en moi de lourdes interrogations : Diane Setterfield a-t-il écrit autre chose ? Est-ce prévu ? Quand ?