Bird Box is a 2014 post-apocalyptic novel and the debut novel by American writer and singer Josh Malerman. The book was first published in the United Kingdom on March 27, 2014, through Harper Voyager and in the United States on May 13, 2014, through Ecco Press. The book follows a woman who must find a way to guide herself and her children to safety despite the potential threat from an unseen adversary. The story is partially told via flashbacks and takes place during three time periods.
A sequel to the book, titled Malorie, was released on July 21, 2020. Bird Box was adapted into a film of the same name in 2018.
I guess this book was pretty good, but somehow it didn't fit my feelings for a "horror" book. I don't know, I suppose the situation should have been terrifying, but I just didn't "FEEL" it. It was good, and things followed from each other, but meh, it didn't do it for me…
A clever end of the world/horror story with several plot problems.
======Spoiler Alert======== 1. Birds do not make noise when they sense danger. They are silent. Canaries in mines were used because they died from noxious gas before the miners were aware of it, they did not get noisier. Also, how did the birds survive in a box for weeks or months? The author merely says it was odd that they did.
2. The premise is that people who see a particular being (almost certainly an alien life form), become insane instantly and kill themselves and maybe someone near them with whatever is at hand. But a key character, Gary, can apparently see them without this effect. Is it because he is crazy already? I don't know, but this is a big plot problem; essentially a trick played on the reader. A second character encountered on the river seems sane, …
A clever end of the world/horror story with several plot problems.
======Spoiler Alert======== 1. Birds do not make noise when they sense danger. They are silent. Canaries in mines were used because they died from noxious gas before the miners were aware of it, they did not get noisier. Also, how did the birds survive in a box for weeks or months? The author merely says it was odd that they did.
2. The premise is that people who see a particular being (almost certainly an alien life form), become insane instantly and kill themselves and maybe someone near them with whatever is at hand. But a key character, Gary, can apparently see them without this effect. Is it because he is crazy already? I don't know, but this is a big plot problem; essentially a trick played on the reader. A second character encountered on the river seems sane, but later seems crazed. What is his story?
3. Dogs are used because it is thought that the aliens might not have an effect on them. And the dogs are used outdoors and nothing happens to them. But Gary says that there are many aliens in the area. Then, at a later time, the dog Victor sees one and goes insane. Also, a flock of birds apparently goes insane and kills itself along the river later. Had they never seen aliens before?
4. There seems to be a menagerie of animal life along the river (the Detroit river? the River Rouge?). This apparently includes wolves. There are no wolves in or near Michigan, except maybe on Isle Royal. [I recently read that there are now hundreds of wolves in the upper peninsula (2021-08-17)] Even months after 95% of all people had died, there would be no wolves in Michigan. Furthermore, wolves will not attack people in a row boat. Do they do this because they are now insane wolves?
5. The final point of refuge is a school for the blind, but some or perhaps many of the inhabitants apparently blinded themselves in some gruesome fashion. Were they short of blindfolds or unable to close their eyes?
Il y a quatre ans, Malorie tombe enceinte, au moment où le monde bascule dans le chaos et l’inconnu. Les suicides violents se multiplient, sans explication autre que celle d’une vision tellement effroyable que les victimes en deviennent folles au point de se donner la mort. Seule solution en l’absence de réelle explication, sortir les yeux bandés, ou ne plus sortir du tout. Malorie élève donc ses enfants confinés dans une maison désormais isolée du monde et les oblige à porter un bandeau lors de rares sorties. Le personnage de Malorie est très dur, c’est une mère obsédée par la discipline qu’elle impose à ses enfants encore petits, de manière à les rendre attentifs à ce qu’ils ne peuvent pas voir. Vient le jour préparé si minutieusement, le jour de leur fuite. Commence alors une course contre la montre pour le trio, une course en aveugle dans l’inconnu, l’invisible, le …
Il y a quatre ans, Malorie tombe enceinte, au moment où le monde bascule dans le chaos et l’inconnu. Les suicides violents se multiplient, sans explication autre que celle d’une vision tellement effroyable que les victimes en deviennent folles au point de se donner la mort. Seule solution en l’absence de réelle explication, sortir les yeux bandés, ou ne plus sortir du tout. Malorie élève donc ses enfants confinés dans une maison désormais isolée du monde et les oblige à porter un bandeau lors de rares sorties. Le personnage de Malorie est très dur, c’est une mère obsédée par la discipline qu’elle impose à ses enfants encore petits, de manière à les rendre attentifs à ce qu’ils ne peuvent pas voir. Vient le jour préparé si minutieusement, le jour de leur fuite. Commence alors une course contre la montre pour le trio, une course en aveugle dans l’inconnu, l’invisible, le danger et la mort certaine pour qui verra l’ennemi en face. L’ennemi est omniprésent, on ne le voit pas, on ne sait pas à quoi il ressemble, faute de survivants pour en témoigner. Les flashbacks sont nombreux et nous ramènent aux premières heures des vagues de suicides. La réclusion de Malorie et des autres survivants, la tension entre les protagonistes est de plus en plus palpable, la situation précaire, voire désespérée, l’intrigue se développe dans une atmosphère pesante jusqu’à la fuite de Malorie.
Bird box est un roman aussi bref qu’intense, il ne m’aura fallu que quelques heures pour le liquider proprement. Les personnages m’ont semblé manquer de substance, mais le rythme du récit suffit à pallier cette lacune. Les enfants, qui n’ont que quatre ans, m’ont paru avoir un langage bien mûr pour leur jeune âge. L’invisible, l’impalpable fait peur. L’horreur est ici principalement psychologique, la vision de ce « quelque chose » suffit à rendre les gens fous et suicidaires, sans autre explication, et encore moins de solution. L’obscurité et l’imagination entretiennent le sentiment de peur, d’oppression et de danger. Certaines scènes sont particulièrement intenses, on partage l’angoisse des personnages aux yeux bandés, qui sans rien voir, devinent ou imaginent la menace à proximité. L’ennemi est-il réel, les créatures abominables qu’ils craignent plus que tout ont-elles seulement une existence physique ? Nul n’a la réponse, et l’auteur se garde bien de nous aiguiller, préférant entretenir le doute. Néanmoins, la fin, trop prévisible m’a un peu déçue, le sujet offrait pourtant d’autres options, mais l’auteur a opté pour la facilité. Un bon roman post-apocalyptique bien pesant, sans effets spectaculaires, mais efficace.