mahdi reviewed Muž ve tmě by Paul Auster
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3 stars
hmm, jako prvni pulka a prolinani dvou linii me hodne zaujalo, ale pak to slo bohuzel ctivosti dost dolu ...
Hardcover, 192 pages
Published Aug. 24, 2008 by Henry Holt & Company.
August Brill ha sufrido un accidente de coche y se está recuperando en casa de su hija, en Vermont. No puede dormir, e inventa historias en la oscuridad. En una de ellas, es Owen Brick, un joven mago que despierta en el fondo de un foso. No sabe dónde está pero oye el ruido de una batalla. Entonces aparece el sargento Serge, que le ayuda a salir, y Brick descubre que América está inmersa en una oscura guerra civil. Los atentados del once de septiembre no han tenido lugar, y tampoco la guerra de Irak. Los Estados Unidos combaten desde hace tiempo, pero contra ellos mismos. Unos cuantos estados han declarado la independencia. Brick se entera de que su misión es asesinar a un tal Blake, o Block, o Black, un hombre que no puede dormir, y que inventa en la noche esa guerra que no acabará nunca si él …
August Brill ha sufrido un accidente de coche y se está recuperando en casa de su hija, en Vermont. No puede dormir, e inventa historias en la oscuridad. En una de ellas, es Owen Brick, un joven mago que despierta en el fondo de un foso. No sabe dónde está pero oye el ruido de una batalla. Entonces aparece el sargento Serge, que le ayuda a salir, y Brick descubre que América está inmersa en una oscura guerra civil. Los atentados del once de septiembre no han tenido lugar, y tampoco la guerra de Irak. Los Estados Unidos combaten desde hace tiempo, pero contra ellos mismos. Unos cuantos estados han declarado la independencia. Brick se entera de que su misión es asesinar a un tal Blake, o Block, o Black, un hombre que no puede dormir, y que inventa en la noche esa guerra que no acabará nunca si él no muere. Aunque no se llama Blake ni Block ni Black, sino August Brill, y puede contarnos una feroz y veraz fábula de nuestros días. «Prepárense a robarle tiempo al sueño para devorársela en una sola noche. Así es Auster, queridos» (Manuel Rodríguez Rivero); «Una espléndida historia de fantasías posibles, mundos paralelos y juegos con la Historia» (Javier Aparicio Maydeu, El País).
hmm, jako prvni pulka a prolinani dvou linii me hodne zaujalo, ale pak to slo bohuzel ctivosti dost dolu ...
It might very well grow into a four-star once I've digested it. Two-thirds through I was pretty much ready to write it off as something wanting to be a Vonnegut piece but without the sting. The story (stories) seemed to lack purpose and an old mans ramblings seemed like just that, an old mans rambling. However in the final third it kind of came together and I caught on to something that might be summed up by the following quote:
Why is life so horrible, Grandpa?
Because it is, that's all. It just is
So it goes.
It might very well grow into a four-star once I've digested it. Two-thirds through I was pretty much ready to write it off as something wanting to be a Vonnegut piece but without the sting. The story (stories) seemed to lack purpose and an old mans ramblings seemed like just that, an old mans rambling. However in the final third it kind of came together and I caught on to something that might be summed up by the following quote:
Why is life so horrible, Grandpa?
Because it is, that's all. It just is
So it goes.
He does write really well, although the particular book
Encore un Paulo, un ! Et dédicacé en plus ! Ah ! je me pâme !
Sinon à part ça, voilà encore un bon Paul Auster, plutôt en forme, même si j’émets quelques doutes quant à la fin du roman.
Le narrateur, August Brill est un vieux monsieur en convalescence qui séjourne chez sa fille et sa petite-fille. Ces trois personnages se remettent plus ou moins facilement de blessures et de deuils. Le soir dans son lit, August s’invente des histoires dans le noir, pour éviter de ressasser et de songer à son épouse décédée. L’histoire qu’il se construit mentalement met en scène une Amérique qui n’a pas connu le 11 septembre mais qui est en proie à une guerre civile dévastatrice. Cette partie est très prenante, on devine des échos de la vie d’August, et c’est comme toujours chez Auster, l’histoire dans l’histoire, le thème récurrent de la création …
Encore un Paulo, un ! Et dédicacé en plus ! Ah ! je me pâme !
Sinon à part ça, voilà encore un bon Paul Auster, plutôt en forme, même si j’émets quelques doutes quant à la fin du roman.
Le narrateur, August Brill est un vieux monsieur en convalescence qui séjourne chez sa fille et sa petite-fille. Ces trois personnages se remettent plus ou moins facilement de blessures et de deuils. Le soir dans son lit, August s’invente des histoires dans le noir, pour éviter de ressasser et de songer à son épouse décédée. L’histoire qu’il se construit mentalement met en scène une Amérique qui n’a pas connu le 11 septembre mais qui est en proie à une guerre civile dévastatrice. Cette partie est très prenante, on devine des échos de la vie d’August, et c’est comme toujours chez Auster, l’histoire dans l’histoire, le thème récurrent de la création littéraire, de l’imaginaire de l’écrivain, de la réalité et de la fiction.
La seconde partie change de direction, on en découvre plus sur le passé de Brill, sur sa vie d’homme, de mari et de père. À partir de ce moment j’ai trouvé que l’intérêt était tombé. Comme si Auster s’était empressé de terminer le livre le plus facilement possible, en passant à côté du suspens ou de l’intrigue.
Encore un bon roman dans l’ensemble, malgré l’essoufflement de la fin, et toujours merveilleusement écrit.