En ce #VendrediLecture je suis avec The roomate arrangement
#amreading
#vendredilecture
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#VendrediLecture avec un Jo Witek, un peu hard pour un roman ado mais pour l'instant j'aime bien, l'autrice est une valeur sûre de toute manière.
#VendrediLecture avec un Jo Witek, un peu hard pour un roman ado mais pour l'instant j'aime bien, l'autrice est une valeur sûre de toute manière.
Vendredi lecture
Titiou Lecoq - La vie ressemble à ça
Un drôle de livre carnet extime, reccueil de conseil à destination de ses enfants, commentaires d'actualité, un peu tout à la fois. Avec quelques idées vraiment fortes comme l'extrait ci-dessous sur l'espoir par temps de fascisme, et juste après un truc hilarant, sur les enfants, enfin surtout quand on est parent bien sûr; Bref du lourd et du léger, un peu comme la vie quoi.
Vendredi lecture
Titiou Lecoq - La vie ressemble à ça
Un drôle de livre carnet extime, reccueil de conseil à destination de ses enfants, commentaires d'actualité, un peu tout à la fois. Avec quelques idées vraiment fortes comme l'extrait ci-dessous sur l'espoir par temps de fascisme, et juste après un truc hilarant, sur les enfants, enfin surtout quand on est parent bien sûr; Bref du lourd et du léger, un peu comme la vie quoi.
Sans Dec finished reading The Bone Season, tome 5 : Le Miroir sombre by Samantha Shannon (The Bone Season, #5)
Après s'être réveillée seule et sans aucun souvenir des six derniers mois, Paige fuit ses …
Je viens de terminer le dernier tome de cette série trépidante. Il y a eu quelques dans longueur, mais dans l’ensemble c’était une très bonne série de roman, dont la fin laisse supposer qu’il y aura peut-être une ou plusieurs suites. #mastolivre #vendredilecture #SF
Bon, un peu en retard pour #vendrediLecture mais gros coup de cœur pour Le Voleur de la Reine de Megan Whalen Turner chez Monsieur Toussaint Louverture. Contemporain de l'Assassin Royal de Robin Hobb et totalement passé sous les radars français à l'époque. De l'excellente fantasy historique, du narrateur non fiable, et ils sont super bôôôô (et pas cher*) (*comme dirait Boulet)
C'est sorti hier !
https://www.yozone.fr/spip.php?article32844
#fantasy #books
Bon, un peu en retard pour #vendrediLecture mais gros coup de cœur pour Le Voleur de la Reine de Megan Whalen Turner chez Monsieur Toussaint Louverture. Contemporain de l'Assassin Royal de Robin Hobb et totalement passé sous les radars français à l'époque. De l'excellente fantasy historique, du narrateur non fiable, et ils sont super bôôôô (et pas cher*) (*comme dirait Boulet)
C'est sorti hier !
https://www.yozone.fr/spip.php?article32844
#fantasy #books
Cette semaine ma #VendrediLecture c'est Le mensonge suffit, de Christopher Bouix, paru Au Diable Vauvert.
Contente de retrouver cet auteur après le plutôt réussi Alfie.
Toujours une histoire de robot, mêlant justice et téléréalité...
Cette semaine ma #VendrediLecture c'est Le mensonge suffit, de Christopher Bouix, paru Au Diable Vauvert.
Contente de retrouver cet auteur après le plutôt réussi Alfie.
Toujours une histoire de robot, mêlant justice et téléréalité...
#VendrediLecture avec les quatre tomes de la série Robin Page, de Annette Marie.
Une quadrilogie rafraîchissante dans l'univers de Tori Dawson (même si j'ai préféré cette première série). Robin se retrouve inopinément liée à un démon, et cela amène à se poser plein de questions sur ce que l'humanité représente (tout en sauvant le monde, quand même). Le côté romance a pris plus d'importance que ce que j'aurais pensé (mais reste raisonnable).
#MastoLivre #FantasyUrbaine
#VendrediLecture avec les quatre tomes de la série Robin Page, de Annette Marie.
Une quadrilogie rafraîchissante dans l'univers de Tori Dawson (même si j'ai préféré cette première série). Robin se retrouve inopinément liée à un démon, et cela amène à se poser plein de questions sur ce que l'humanité représente (tout en sauvant le monde, quand même). Le côté romance a pris plus d'importance que ce que j'aurais pensé (mais reste raisonnable).
#MastoLivre #FantasyUrbaine
J'ai commencé "Tout pour tout le monde". La couv me perturbe psk qu'elle ressemble plus à un bouquin de dev perso qu'à un bouquin d'anticipation communiste. Et pourtant, c'est la 2e option.
Ça se veut la retranscription d'entretiens qui racontent une révolution mondiale, sur des bases communisatrices, dans les années 2050.
Pour l'instant, c'est assez intéressant et ça a pas l'air de trop tomber dans les écueils un peu trop utopiques de ce genre de tentatives. Malgré tout, j'ai toujours un peu de mal dans les récits qui racontent des révolutions réussies, tristement, je trouve que ça sonne un peu… faux…
but it's a me problem je pense
J'ai commencé "Tout pour tout le monde". La couv me perturbe psk qu'elle ressemble plus à un bouquin de dev perso qu'à un bouquin d'anticipation communiste. Et pourtant, c'est la 2e option.
Ça se veut la retranscription d'entretiens qui racontent une révolution mondiale, sur des bases communisatrices, dans les années 2050.
Pour l'instant, c'est assez intéressant et ça a pas l'air de trop tomber dans les écueils un peu trop utopiques de ce genre de tentatives. Malgré tout, j'ai toujours un peu de mal dans les récits qui racontent des révolutions réussies, tristement, je trouve que ça sonne un peu… faux…
but it's a me problem je pense
#VendrediLecture "Calamity Jane, un homme comme les autres", de Justine Niogret.
Une déclinaison personnelle et intime de la figure de Calamity Jane. L'autrice nous entraîne au côté d'une femme confrontée à la mort, qu'un mystérieux personnage conduit dans un parcours rétrospectif douloureux.
C'est un texte court, aussi brut que poignant. La mythologisation de Calamity Jane s'effrite peu à peu pour dévoiler le portrait d'une vie cabossée, excessive, marquée par une quête solitaire et insatisfaite pour tenter de se trouver une place, en étant une femme, dans l'hostilité de l'Ouest étatsunien. C'est l'histoire du prix qui a été payé pour exister, mais aussi celle d'une confrontation, impitoyable, face aux mises en récit derrière lesquelles peut se construire l'illusion d'un personnage. Un récit fort, qui reste quand on referme le livre. J'ai beaucoup aimé.
#VendrediLecture "Calamity Jane, un homme comme les autres", de Justine Niogret.
Une déclinaison personnelle et intime de la figure de Calamity Jane. L'autrice nous entraîne au côté d'une femme confrontée à la mort, qu'un mystérieux personnage conduit dans un parcours rétrospectif douloureux.
C'est un texte court, aussi brut que poignant. La mythologisation de Calamity Jane s'effrite peu à peu pour dévoiler le portrait d'une vie cabossée, excessive, marquée par une quête solitaire et insatisfaite pour tenter de se trouver une place, en étant une femme, dans l'hostilité de l'Ouest étatsunien. C'est l'histoire du prix qui a été payé pour exister, mais aussi celle d'une confrontation, impitoyable, face aux mises en récit derrière lesquelles peut se construire l'illusion d'un personnage. Un récit fort, qui reste quand on referme le livre. J'ai beaucoup aimé.
Mon #VendrediLecture s’appelle “This Is For Everyone” de Tim Berners-Lee. On y parle de la création du World Wide Web et… c’est pasionnant. Livre en anglais, je ne sais pas s’il existe une traduction en français.
Mark HADDON, The Curious Incident of the Dog in the Night-time.
Je le découvre vingt après tout le monde mais ce livre est magnifique.
J'ai fini ce livre en début de semaine et je trépigne depuis en attendant #VendrediLecture pour le partager.
C'est vraiment un énorme coup de cœur, un livre qui embarque et qui fait réfléchir.
Il faut lire Babel, de Rebecca F. Kuang.
Les questions du racisme et du colonialisme sont fréquemment abordées dans les littératures de l'imaginaire. Ici le choix est frontal : pas d'analogie à base d'aliens mais notre monde à nous. On n'est pas dans le futur mais dans un passé à peine modifié par une touche de magie.
Cette magie repose sur l'utilisation des mots et plus exactement la complexité/l'impossibilité de leur traduction d'une langue à l'autre.
C'était d'autant plus savoureux d'avoir à la fois la version originale et la version française sous la main, hasard de cadeaux d'amis de bon goût !
Et cette magie n'étant manipulable que par des savants …
J'ai fini ce livre en début de semaine et je trépigne depuis en attendant #VendrediLecture pour le partager.
C'est vraiment un énorme coup de cœur, un livre qui embarque et qui fait réfléchir.
Il faut lire Babel, de Rebecca F. Kuang.
Les questions du racisme et du colonialisme sont fréquemment abordées dans les littératures de l'imaginaire. Ici le choix est frontal : pas d'analogie à base d'aliens mais notre monde à nous. On n'est pas dans le futur mais dans un passé à peine modifié par une touche de magie.
Cette magie repose sur l'utilisation des mots et plus exactement la complexité/l'impossibilité de leur traduction d'une langue à l'autre.
C'était d'autant plus savoureux d'avoir à la fois la version originale et la version française sous la main, hasard de cadeaux d'amis de bon goût !
Et cette magie n'étant manipulable que par des savants qui y sont formés, c'est par le prisme de l'univers feutré d'une université qu'est abordé le phénomène colonial.
C'est peut-être ce qui a tant parlé à la scientifique en moi. Les questions soulevées font écho à des choses familières.
Babel rappelle que produire du savoir a un impact sur le monde qui nous entoure.
Qui profite de ce savoir et qui, au contraire, n'y a pas accès ? Quels sont les maillons indispensables mais non reconnus et valorisés de la chaîne ? Comment ce savoir impacte les rapports de domination ?
Babel parle d'empire colonial, de racisme, de sexisme. Et le léger décalage dans le passé ne rend pas ces questions moins actuelles.
Mais en le lisant j'ai aussi pensé à @scientifiques_en_rebellion.
Ceci dit, Babel n'est pas du tout un roman donneur de leçon. Il y a toute une galerie de personnages aux opinions, aux histoires et aux décisions différentes.
À chacun et chacune de construire sa réflexion personnelle à partir de cette matière... Et de la faire évoluer une fois le livre fermé.
Babel aborde aussi une question qui me touche à titre personnel : comment entrer dans un univers qui n'est pas celui dont on vient ? Et comment réagir quand on se rend compte qu'en fait cet univers n'est pas si reluisant...
Il faudrait le faire lire à tous les jeunes chercheur·euses 😬
Bref, si vous êtes scientifique, littéraire, adepte des littératures de l'imaginaire, préoccupé(e) par les questions de racisme, de sexisme, de rapports de domination... Lisez Babel !
#VendrediLecture J'atteins difficilement la moitié du Livre qui refusait de brûler, de Mark Lawrence. Non décidément, je n'accroche pas ! 😒 #LectureSFFF #MastoLivre
#VendrediLecture J'atteins difficilement la moitié du Livre qui refusait de brûler, de Mark Lawrence. Non décidément, je n'accroche pas ! 😒 #LectureSFFF #MastoLivre
Chamedi lecture.
Au passage, la féline vous recommande le dernier #FradeRLu sur la fameuse pile à lire : https://toot.portes-imaginaire.org/@scribe_thorium/115275085333720700
#VendrediLecture #caturday #chat #cat #katze #catsofmastodon #tomgauld
Chamedi lecture.
Au passage, la féline vous recommande le dernier #FradeRLu sur la fameuse pile à lire : https://toot.portes-imaginaire.org/@scribe_thorium/115275085333720700
#VendrediLecture #caturday #chat #cat #katze #catsofmastodon #tomgauld
#VendrediLecture avec Ferdydurke de l'écrivain polonais Gombrowicz.
Âgé d'une trentaine d'années, le narrateur peine à se sentir adulte au vu du sérieux ridicule auquel ce terme renvoi. Un pédant pédagogue va alors l'infantiliser au point de le renvoyer à l'école et le placer en famille d’accueil. Tout va alors œuvrer à sa "cuculisation", sorte d'abrutissement général auquel notre héros va tenter d’échapper. Mais est-ce seulement possible ?
Un livre à la fois drôle, acide et grotesque.
#VendrediLecture avec Ferdydurke de l'écrivain polonais Gombrowicz.
Âgé d'une trentaine d'années, le narrateur peine à se sentir adulte au vu du sérieux ridicule auquel ce terme renvoi. Un pédant pédagogue va alors l'infantiliser au point de le renvoyer à l'école et le placer en famille d’accueil. Tout va alors œuvrer à sa "cuculisation", sorte d'abrutissement général auquel notre héros va tenter d’échapper. Mais est-ce seulement possible ?
Un livre à la fois drôle, acide et grotesque.