Gustave Blåbær quoted Se perdre by Annie Ernaux
Je regarde les arbres, le soleil sur l'herbe (il est douze heures trente)), quelque chose glisse là, maintenant, d'insaisissable, et qui me fait passer de la présence possible d'hier à l'absence définitive de demain. Ce jour est la charnière du passé et de l'avenir. C'est comme la mort.
— Se perdre by Annie Ernaux