Tiamat's Wrath is a science fiction novel by James S. A. Corey, the pen name of Daniel Abraham and Ty Franck, and the eighth book in their series The Expanse. Following the series' tradition of referring to ancient mythology in its titles, the book's title references the Babylonian goddess Tiamat who took part in the creation of the universe.
La série s'essoufflait un tout petit peu, et là, je n'ai pas réussi à lâcher le tome du week-end ! Les personnages et l'intrigue sont au rendez-vous. Une bonne entrée en matière pour l'été :)
There's a lot to say about this book. It reminds me a lot of the first three books in the series, especially in terms of pacing. There's never a moment where the story stops happening, except maybe to build on some of the characters. The pacing is incredible, and sets up the final book in a way that had me both excited to finish the series and dreading the end - I genuinely don't want this to be over.
This book was incredibly well-paced. I won't spoil anything, but there's a major character death involved, but it happens during one of the massive battles in the book. But the others can't really stop, and instead, they carry that with them until the end of the book. When you finally get a chance to take a breath, you realize there's one more thing to do: you have to mourn with the remaining crew of the Roci. It's such a brilliant, well-written moment that truly reflects what it must be like to lose someone you love in battle, but having to continue fighting.
I'm taking a bit of a breather before Leviathan Falls, but good lord, I can't wait to see how all this ends up.
Tiamat’s Wrath est le huitième volume de la saga de science-fiction The Expanse signée James S.A. Corey, le nom de plume du duo composé des auteurs Daniel Abraham et Ty Franck. Il s’agit également à ce jour du dernier tome publié, en attendant le neuvième et dernier dont la parution est prévue pour courant 2020.
Après deux tomes qui m’avaient laissé un sentiment mitigé, j’attendais que celui-ci me réconcilie avec cette saga qui avait si bien commencé.
Dès la lecture de la table des matières, j’ai remarqué une nouveauté notable par rapport aux sept premiers tomes : si Holden reste présent comme narrateur, il ne l’est que pour le prologue et l’épilogue, laissant à d’autres personnages le soin de nous raconter l’histoire :
- Naomi, sa compagne et officier en second, désormais engagée dans la résistance contre l’Empire de Laconia
- Alex, le fidèle pilote du Roccinante
- Bobbie, désormais …
Tiamat’s Wrath est le huitième volume de la saga de science-fiction The Expanse signée James S.A. Corey, le nom de plume du duo composé des auteurs Daniel Abraham et Ty Franck. Il s’agit également à ce jour du dernier tome publié, en attendant le neuvième et dernier dont la parution est prévue pour courant 2020.
Après deux tomes qui m’avaient laissé un sentiment mitigé, j’attendais que celui-ci me réconcilie avec cette saga qui avait si bien commencé.
Dès la lecture de la table des matières, j’ai remarqué une nouveauté notable par rapport aux sept premiers tomes : si Holden reste présent comme narrateur, il ne l’est que pour le prologue et l’épilogue, laissant à d’autres personnages le soin de nous raconter l’histoire :
- Naomi, sa compagne et officier en second, désormais engagée dans la résistance contre l’Empire de Laconia
- Alex, le fidèle pilote du Roccinante
- Bobbie, désormais capitaine du Roccinante
- Elvi, la biologiste croisée dans le quatrième tome, Cibola Burn, et qui travaille désormais sur des recherches scientifiques sur Laconia
- Teresa, la fille adolescente du haut-consul Winston Duarte, et à ce titre héritière de l’Empire de Laconia
Je dois dire que c’est assez rafraichissant de ne plus suivre l’histoire à travers le regard de James Holden. Un peu de changement ne fait pas de mal ici, même si Holden reste présent en arrière-plan et que certains narrateurs le rencontrent à plusieurs reprises.
Le récit reprend deux ans après la fin de Babylon’s Ashes : l’Empire de Laconia a réussi sa conquête de la galaxie, le système solaire a perdu son statut dominant et l’espace interstellaire est maîtrisé par les forces armées aux ordres du haut-consul. Holden est retenu prisonnier sur Laconia, Naomi, Alex et Bobbie luttent chacun à leur façon au sein de la résistance, et Amos est porté disparu suite à une mission d’infiltration sur Laconia.
Nous avons donc affaire à une histoire classique de résistance face à un pouvoir autoritaire. Là où dans le tome précédent l’action était centrée sur Medina Station et les enjeux locaux suite à l’arrivée des forces de Laconia, les enjeux s’élevent dans ce nouveau volume. La résistance, bien que très menacée, gagne en assurance et tente des actions désespérées pour combattre l’oppresseur.
Comme c’était déjà le cas dans d’autres tomes, il y a un événement fort qui se déroule aux deux tiers du roman. Ensuite, il y a une petite perte de rythme, on a l’impression d’être dans un long épilogue, avant que cela ne s’accélère à nouveau dans les derniers chapitres. C’est habile, quoique un peu déstabilisant quand on est habité au rythme linéaire de nombreux romans anglo-saxons.
Dans l’ensemble, j’ai bien aimé ce huitième tome : j’ai pris plaisir à le lire, plus que pour les deux volumes précédents en tout cas. Cela ne ressemble plus vraiment à The Expanse du début, nous sommes passés d’un récit de science-fiction presque réaliste à quelle chose approchant le space-opéra, cela a peut-être perdu une partie de son charme, mais c’est plaisant à lire.
Après avoir enchainé les huit tomes publiés, je vais en tout cas attendre avec impatience le neuvième dernier prévu pour l’année à venir, dont on ne connait encore ni la date exacte de publication, ni le titre. Le suspense va être insoutenable !