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Les raisins de la colère by John Steinbeck
« Dans les yeux des affamés se lit une colère grandissante. Dans leur âme les raisins de la colère sont …
Avis de merdes faites pas gaffe
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« Dans les yeux des affamés se lit une colère grandissante. Dans leur âme les raisins de la colère sont …
Dans un essai très commenté, cet ancien conseiller de plusieurs présidents américains théorise «le piège de Thucydide, soit la crainte qu'éprouve une hégémonie ancienne - Sparte hier, les États-Unis aujourd'hui - face à l'émergence d'une nouvelle puissance, l'Athènes de Périclès ou la Chine du xxx siècle.
— La Grèce classique by Catherine Grandjean, Gerbert S.. Bouyssou, Véronique Chankowski, and 2 others (Mondes anciens) (Page 237)
C'est un livre sympa, il prends 3/4 sujets polémique sur la naissance de l'islam et il apporte un point de vue qui me paraît vraiment chargé de bonnes intentions intellectuelle (il reconnaît le point de vue islamophobe de beaucoup de chercheur et en même temps j'ai pas l'impression qu'il cherche a être particulièrement charitable). Mais bon c'est pas DU TOUT ce que je cherchais, avec le titre je m'attendais vraiment juste a une description historique laïque du premier centenaire de l'islam, alors que pas du tout c'est vraiment un livre axé sur l'analyse de sujets polémiques du début de l'islam sans trop de continuité. Un peu court aussi
C'est un livre sympa, il prends 3/4 sujets polémique sur la naissance de l'islam et il apporte un point de vue qui me paraît vraiment chargé de bonnes intentions intellectuelle (il reconnaît le point de vue islamophobe de beaucoup de chercheur et en même temps j'ai pas l'impression qu'il cherche a être particulièrement charitable). Mais bon c'est pas DU TOUT ce que je cherchais, avec le titre je m'attendais vraiment juste a une description historique laïque du premier centenaire de l'islam, alors que pas du tout c'est vraiment un livre axé sur l'analyse de sujets polémiques du début de l'islam sans trop de continuité. Un peu court aussi
Thucydide a bien vu l'importance de ces constructions dans sa double hypothèse dont nous pouvons constater, près de 2500 ans plus tard, la justesse (1, 10):Si la cité des Lacédémoniens avait été transformée en désert et si n'étaient restés que les sanctuaires et les fondations de leurs bâtiments, je crois qu'après un long écoulement de temps les hommes d'alors ne croiraient pas que sa puissance eût égalé son renom - pourtant les Lacédémo-niens administrent les deux cinquièmes du Péloponnèse et en ont l'hégémonie sur la totalité, ainsi que sur de nombreux alliés extérieurs; mais comme ils n'ont pas une cité centralisée qui n'a pas de sanctuaires et de bâtiments riches, mais qu'elle se compose de villages, selon l'usage ancien des Grecs, leur puissance apparaîtrait infé-rieure. Tandis que si le même sort touchait les Athéniens, on imaginerait leur puissance double de ce qu'elle est, en se fondant sur l'apparence extérieure de leur cité.
— La Grèce classique by Catherine Grandjean, Gerbert S.. Bouyssou, Véronique Chankowski, and 2 others (Mondes anciens) (Page 229 - 230)
Waahhhh le preshot de fou
On sait qu'au Ix siècle, la version d'Ubbay ibn Ka'b existait en plusieurs exemplaires dans la région de Bassora, et que celle d'Ibn Mas'ud ne disparut qu'au x siècle, détruite par les autorités 15.
— Naissance de l'islam by Michel Orcel (Page 56)
Au lieu de satisfaire la soif d'unité dans la commu-nauté, cette version, au dire même de la Tradition, rencontra l'opposition de certains anciens compa-gnons du Prophète (notamment Ali et Ibn Mas'ud), et provoqua même des rixes. D'après un chroniqueur, lorsque Ibn Mas'ud refusa de restituer sa copie, le messager du calife le frappa si fort qu'il lui cassa deux côtes ! Ibn Mas'ud ne pardonna jamais ce geste à Othman. D'après le grand chroniqueur Tabarî, les <<< récitants [officiels] du Coran >> ne furent pas moins irrités, et firent même explicitement au calife ce reproche troublant «Le Coran, c'étaient plusieurs livres, et toi tu les as réduits à un seul¹2 »...Pire encore, le fils du calife Omar, connu pour sa piété, aurait dit à Othman : << Ne laisse personne te dire qu'il détient la totalité du Coran. Comment peut-on savoir ce qu'est la totalité du Coran? Beaucoup de choses du Coran ont disparu à jamais¹³... » Mais ces témoignages nous font déjà sortir du cadre du récit officiel.
— Naissance de l'islam by Michel Orcel (Page 53 - 54)
Cette version écrite était la possession exclusive du calife et n'était donc pas destinée à circuler. Dans les faits, elle coexistait avec des recensions qui avaient été colligées à titre personnel par certains compagnons du Prophète, et non des moindres: Ali (gendre de Mahomet et son quatrième successeur), Ubayy ibn Ka'b et Abdallah ibn Mas'ud, notamment. Ces versions (nous le savons par des témoignages tardifs mais précis) différaient assez sensiblement de la version califale, non seulement par des variantes textuelles, mais par l'ordre et même le nombre des sourates.
— Naissance de l'islam by Michel Orcel (Page 52)
Cet épisode essentiel de la biographie prophétique, qui atteste que la Révélation musulmane fut authentifiée par un savant nazaréen, est à la fois solennellement reconnu par la Tradition et en même temps évacué.
— Naissance de l'islam by Michel Orcel (Page 41)
L'originalité de cette chronique ne tient pas dans son point de vue très favorable à l'islam, point de vue qui fut, lors de la conquête arabe, celui des juifs et des chrétiens non orthodoxes, également persécutés par Byzance
— Naissance de l'islam by Michel Orcel (Page 31)
des versets ont pu être abrogés par d'autres en fonction de la situation concrète à laquelle se trouvait confronté le Prophète. L'exemple le plus éclatant de ce phénomène d'abroga-tion se trouve dans les versets concernant l'usage du vin, d'abord célébré comme un << signe >>> divin, puis toléré en dehors de la prière et finalement interdit à la suite d'un incident qui aurait vu deux musulmans se présenter à la prière en état d'ivresse.
— Naissance de l'islam by Michel Orcel (Page 8)
. D'après les sources, les Athéniens n'eurent recours à l'ostracisme qu'en 487, après la bataille de Marathon qui aurait pu, en cas de défaite, ramener au pouvoir Hippias (Hdt. VI, 107). La présence sur les tessons de caricatures figurant la personne en archer perse (Callias, fils de Critios), en cavalier (Mégaclès) ou en vainqueur à un concours gymnique ou hippique (Kallixénos, fils d'Aristonymos) comme l'inscription d'injures diverses (<«le plus coupable des prytanes maudits>> pour Xanthippe, père de Périclès; "épouse ta sœur et décampe» pour Cimon) ne semble pas avoir invalidé le suffrage.
— La Grèce classique by Catherine Grandjean, Gerbert S.. Bouyssou, Véronique Chankowski, and 2 others (Mondes anciens) (Page 207)
On devrait faire pareil en France
Au début du IVe siècle, le roi spartiate Agésilas reçut ainsi le fils du satrape Pharnabaze, auquel il fit donner une éducation Lacédémonienne
— La Grèce classique by Catherine Grandjean, Gerbert S.. Bouyssou, Véronique Chankowski, and 2 others (Mondes anciens) (Page 163 - 164)
Send your son to Daghestan brother 2/3 years
Méfions-nous cependant de cette vision téléologique : l'isonomie des réformes de 508-507 ne correspondait pas - du moins pas encore - à la démocratie, qui ne s'installa que progressivement. Le processus s'accéléra après Salamine, quand les plus pauvres, les thètes, qui servaient dans la flotte, se révélèrent indispensables. Leur participation à la défense de la cité leur ouvrit l'accès à des charges dont ils étaient jusque-là exclus.
— La Grèce classique by Catherine Grandjean, Gerbert S.. Bouyssou, Véronique Chankowski, and 2 others (Mondes anciens) (Page 127)
Toujours comme ça, il y avait eu le même genre d'histoire avec la première guerre mondiale
Toujours comme ça, il y avait eu le même genre d'histoire avec la première guerre mondiale