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“Most women would rather cuddle a baby than a typewriter or a factory machine.” Her message resonated not only with religious women but also with many working- class women for whom the labor market offered unfulfilling work and low pay.

— Jesus and John Wayne by Kristin Kobes Du Mez (Page 68)

In 1952, Schlafly ran for Congress herself. Campaigning with the slogan “A Woman’s Place Is in the House,” she won the Republican primary but lost in the general election.

— Jesus and John Wayne by Kristin Kobes Du Mez (Page 66)

The events of the 1960s, however, and the realization that the larger culture seemed to scorn what they had to offer, undercut their newfound confidence. Among evangelicals, a rhetoric of fear would persist, though it would be aimed at internal threats as much as external ones. Instrumental to their efforts to reclaim power, this rhetoric of fear would continue to bolster the role of the heroic masculine protector. There might be a place for the softer virtues, but the perilous times necessitated ruthless power.

— Jesus and John Wayne by Kristin Kobes Du Mez (Page 59)

“I would rather see my four girls shot and die as little girls who have faith in God than leave them to die some years later as godless, faithless, soulless Communists,” Boone asserted. His audience was thrilled, even if his wife was not.

— Jesus and John Wayne by Kristin Kobes Du Mez (Page 41)

When the war came to a close, no amount of patriotism could obscure the fact that it had been fought at great cost, and with little apparent gain. Roosevelt’s model of masculinity had been found wanting; the war, it seemed, had presented Americans with the horror of “having myths about blood and fire and mutilation and blindness come true.”

— Jesus and John Wayne by Kristin Kobes Du Mez (Page 19)

Elle dirige le secteur toulousain de Pat O'Leary, se dévouant corps et âme à ses protégés, ses agents et à son chef Albert Guérisse dès son recrutement en juillet 1942, quitte à financer l'action sur ses propres deniers. Nancy Wake, réfugiée chez elle avant de passer en Espagne, la décrit:

Je l'aimai tout de suite. Elle était très laide. Il était difficile de dire son âge car elle ne faisait rien pour s'embellir.

— L'armée du silence by Guillaume Pollack (Page 137)

Valentine Ployart, dénoncée aupara-vant par des voisines suspicieuses de constater le va-et-vient d'hommes à son logis, meurt en déportation le 2 avril 1945.

— L'armée du silence by Guillaume Pollack (Page 114 - 113)

En septembre 1939, le président de la République Ignacy Mościcki et son gouvernement quittent Varsovie pour échapper à la capture et passent en Roumanie où ils sont provisoirement internés. L'objectif est de par-venir en France pour se placer sous la protection de leur allié.

— L'armée du silence by Guillaume Pollack (Page 42)

En vérité tous ces hommes, quelle que soit la nature de leurs actes et de leurs œuvres, n'ont pas de vie à proprement parler. Celle-ci n'est pas une existence, elle n'a pas de forme et eux-mêmes ne sont pas des héros, des artistes ou des penseurs comme d'autres sont juges, médecins, cordon-niers ou professeurs. Leur vie est mouvement et déferlement perpétuels, douloureux; elle est un déchirement cruel, plein de souffrances, et paraît épouvantable, absurde si l'on ne consent pas à reconnaître que son sens réside précisément dans les expériences, les actes, les pensées et les œuvres rares qui resplendissent au-dessus de ce chaos.

— Le Loup des steppes by Hermann Hesse, Hermann Hesse, Juliette Pary (Page 70)

Qui donc encore cherchait à retrouver, sur les ruines de sa vie, un sens volatilisé ? Qui endurait des souffrances appa-remment absurdes, poursuivait une existence apparem-ment insensée, conservait au fond de la folie la plus chaotique le secret espoir d'une révélation, d'une manifestation de la présence divine ?

— Le Loup des steppes by Hermann Hesse, Hermann Hesse, Juliette Pary (Page 57)

"La plupart des hommes ne veulent pas nager avant d'avoir appris à le faire." Spirituel, n'est-ce pas ? Naturellement, ils refusent de nager ! Ils sont nés pour évoluer sur la terre ferme, non dans l'eau. Et naturellement, ils refusent aussi de penser; ils ont été créés pour vivre, pas pour penser ! En effet, celui qui réfléchit, celui qui confère à la pensée une importance primordiale, peut certes aller très loin dans son domaine, mais il quitte alors la terre ferme pour rejoindre l'eau et se noiera un jour.

— Le Loup des steppes by Hermann Hesse, Hermann Hesse, Juliette Pary (Page 30 - 31)