Armavica wants to read Embassytown by China Miéville

Embassytown by China Miéville
In the far future, humans have colonized a distant planet, home to the enigmatic Ariekei, sentient beings famed for a …
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66% complete! Armavica has read 16 of 24 books.
In the far future, humans have colonized a distant planet, home to the enigmatic Ariekei, sentient beings famed for a …
he Basques are Europe's oldest people, their origins a mystery, their language related to no other on Earth, and even …
San Francisco, après l'apocalypse.
Dans la grande cité californienne, des artistes se sont forgés leur propre société, qui tend vers …
♫ If you’re going to San Francisco… ♪ Voilà un livre qui fait du bien ! Un livre optimiste, disant qu’une autre post-apocalypse est possible, peuplée d’artistes hippies préférant l’amour à la guerre. Après une pandémie qui a tué l’essentiel de l’humanité, San Francisco est peuplée d’une poignée d’artistes vivant en paix et d’autres qu’humains. Iels vivent en paix jusqu’à l’arrivée d’un militaire décidé à faire le matamore pour restaurer le désordre ancien. J’ai beaucoup aimé cette lecture et l’ai fait durer quelques jours, pour allonger le temps passé avec Jaxe, Danny-Boy, la Machine… C’est poétique, plein d’une douce magie et de personnages attachant·es, idéal pour redonner un peu d’espoir !
Je viens de terminer ce livre, troisième et dernier des livres écrits par Koeppen dans les années 50. Je ne connaissais pas l'auteur, et je dois dire que j'ai mis un peu de temps à m'habituer à son style en « fil de pensées ». On change de personnage comme de paragraphe, on change aussi régulièrement de style de narration, alternant entre la troisième et la première personne, ce que j'ai trouvé un peu déroutant au début. Mais j'ai fini par m'y faire puisque tout cela sert le roman : quoi de mieux que s'inviter dans leurs pensées pour décrire des personnages pleins de contradictions, qui ne se supportent pas les uns les autres mais pas non plus eux-mêmes. Le sujet est celui de la honte, de la culpabilité, de la colère ressenties par les Allemands après la seconde guerre mondiale. On y suit une famille partagée entre deux camps …
Je viens de terminer ce livre, troisième et dernier des livres écrits par Koeppen dans les années 50. Je ne connaissais pas l'auteur, et je dois dire que j'ai mis un peu de temps à m'habituer à son style en « fil de pensées ». On change de personnage comme de paragraphe, on change aussi régulièrement de style de narration, alternant entre la troisième et la première personne, ce que j'ai trouvé un peu déroutant au début. Mais j'ai fini par m'y faire puisque tout cela sert le roman : quoi de mieux que s'inviter dans leurs pensées pour décrire des personnages pleins de contradictions, qui ne se supportent pas les uns les autres mais pas non plus eux-mêmes. Le sujet est celui de la honte, de la culpabilité, de la colère ressenties par les Allemands après la seconde guerre mondiale. On y suit une famille partagée entre deux camps : les anciens sympathisants du Reich et les autres, qui sortent de la guerre comme hébétés et ressassent, se résignent, ou s'efforcent d'oublier, et cherchent à se remettre à vivre et à retrouver du sens. C'est un roman tout en contrastes, qui traite d'un sujet lourd dans une ville où les personnages sont (quasiment tous) en vacances, qui utilise de très longues phrases mais néanmoins digestes, dont les personnages sont en proie à des conflits internes (conscients ou non) et entre eux, et dont le sujet historique ne peut pas ne pas faire penser au retour contemporain du fascisme. J'ai dû m'accrocher un peu au début, mais je le recommande quand même. J'ai aussi apprécié la préface que Johann Chapoutot a écrite pour cette édition.
Death in Rome (German: Der Tod in Rom) is a 1954 German novel by Wolfgang Koeppen. Koeppen belonged to the …
Comment nous relions-nous à notre environnement et comment nous en détachons-nous ? Comment en sommes-nous arrivés à vivre dans des …
Il faut de la patience, du temps, un peu à l'image des éleveurs de rennes que l'on suit au gré des migrations de leurs troupeaux ... il faut du temps pour passer de l'arc Arctique à la Toundra. Il faut du temps pour comprendre l'incroyable intelligence de la cosmologie paysanne française qui a été balayée d'un seul coup... avec l'avènement d'un certain "jardin d'Acclimatation" élaboré par un Saint-Hilaire. Alors j'ai compris d'une certaine manière la boucherie qu'est devenu notre époque et sa triste survenue. Parce que ça n'a pas été facile de faire plier ces misérables paysans pour leur faire intégrer les idéologies de la zootechniques des élites... ces mêmes technologies qui sont peut-être bien le terreau de nos préjugés sur un grand nombre de différence pour pas dire nos pensées racistes (même celles que l'on oserait s'avouer). Ce livre est une somme à déguster tout en lenteur ,parce que …
Il faut de la patience, du temps, un peu à l'image des éleveurs de rennes que l'on suit au gré des migrations de leurs troupeaux ... il faut du temps pour passer de l'arc Arctique à la Toundra. Il faut du temps pour comprendre l'incroyable intelligence de la cosmologie paysanne française qui a été balayée d'un seul coup... avec l'avènement d'un certain "jardin d'Acclimatation" élaboré par un Saint-Hilaire. Alors j'ai compris d'une certaine manière la boucherie qu'est devenu notre époque et sa triste survenue. Parce que ça n'a pas été facile de faire plier ces misérables paysans pour leur faire intégrer les idéologies de la zootechniques des élites... ces mêmes technologies qui sont peut-être bien le terreau de nos préjugés sur un grand nombre de différence pour pas dire nos pensées racistes (même celles que l'on oserait s'avouer). Ce livre est une somme à déguster tout en lenteur ,parce que tout est subtil quand on vit au rythme des animaux, qui sont un lien entre la terre et le ciel, qu'il faut apprivoiser ou parfois domestiquer mais souvent simplement s'y attacher... eh, oui, s'attacher à son animal et faire en sorte que l'animal qui reste alors semi-sauvage, qu'il s'attache aussi un peu à vous... c'est merveilleux. C'est un savoir très ancien, très lointain.
Un voyage musical accompagné d'un journaliste scientifique et musical, pianiste et compositeur. Ce n'est pas rien car la lecture est facile, accessible ! J'ai trouvé cette aventure passionnante, parce que j'adore écouter de la musique, toutes les musiques et parce que je sais bien combien la musique accompagne mes états d'âme depuis toujours. Mais alors pourquoi ? Et comment cela se fait-il ? Eh, bien cette lecture m'a tout expliqué ! C'est magique. Cela commence à l'aube de notre humanité, peut-être quand on est un petit bébé quelques semaines avant notre naissance et puis on passe par la maladie, les troubles psy, les styles musicaux, les excès (de drogues) de certains musiciens du classique au rock, pop et les expériences en labo qui redéfinisse peut-être bien l'expérience de Dieu. Génialissime ... je conseil ça raconte notre humanité et notre devenir certainement.
On ne peut pas vivre sans musique. Dès les premiers instants de la vie intra-utérine jusqu'aux grands moments qui traversent …
A wordless space fantasy beginning with the end of the world.