Una stanza tutta per sé è un trattato ironico, immaginifico, personalissimo e vario, che riesce a unire l’analisi sociale e la satira. Il leitmotiv della stanza, grembo e prigione dell’anima femminile, si allarga fino a comprendere tutti i luoghi della dimora umana: la natura, la cultura, la storia e infine la “realtà” stessa nella sua inquietante ma esaltante molteplicità. L’autrice demolisce la società patriarcale, bussa con forza alle porte del mondo della cultura, fino a quel momento di esclusivo appannaggio maschile, pretende di farvi irruzione, chiede che non ci siano più limiti e divieti per il pensiero delle donne.
Bah c'était incroyable, j'adore le concept de suivre la creation de sa pensée en plus elle est très intelligente ça se ressent et c'est vraiment fluide et agréable à lire.
Par contre je dois passer à coter de BEAUCOUP de références à la littérature anglaise.
Je mets pas 5 pour laisser de la valeure à cette note mais il y a un moment que j'ai trouvé un peu plus mou et j'aurais aimé qu'elle aille plus en profondeur sur ses pensés mais sinon j'ai trop aimé
Pour moi ça a été une révélation ! Je l'avais lu plus jeune et relire cette traduction de Marie Darrieussecq m'a fait tout redécouvrir ! C'était génial. Je vais le garder et le relire sûrement plus tard encore et encre...
De quoi nous parle ce petit bouquin ? De femmes et de fiction. Plus précisément, des femmes romancière et poétesses. Ou plutôt de leur absence. « Beaucoup de livres écrits par des hommes parlent de femmes, mais il y a très peu de femmes qui parlent d'hommes ».
On est pas du tout dans une conférence ou un écrit académique (même si l'autrice connaît très bien ses classiques). Woolf nous déroule le fil de ses pensées sur les deux jours précédant la conférence. Il ne s'y passe factuellement pas grand chose: elle marche sur une pelouse, se voit refuser l'accès à la bibliothèque, mange bien le midi et mal le soir. Mais ce qui importe, c'est ce que ces événements suscitent tout un tas de pensées qui éclosent de manière un peu foutraque, comme les bulles d'une eau en train de frémir.
La thèse qu'elle défend parmi tant d'autres est …
De quoi nous parle ce petit bouquin ? De femmes et de fiction. Plus précisément, des femmes romancière et poétesses. Ou plutôt de leur absence. « Beaucoup de livres écrits par des hommes parlent de femmes, mais il y a très peu de femmes qui parlent d'hommes ».
On est pas du tout dans une conférence ou un écrit académique (même si l'autrice connaît très bien ses classiques). Woolf nous déroule le fil de ses pensées sur les deux jours précédant la conférence. Il ne s'y passe factuellement pas grand chose: elle marche sur une pelouse, se voit refuser l'accès à la bibliothèque, mange bien le midi et mal le soir. Mais ce qui importe, c'est ce que ces événements suscitent tout un tas de pensées qui éclosent de manière un peu foutraque, comme les bulles d'une eau en train de frémir.
La thèse qu'elle défend parmi tant d'autres est très joliment amenée. Très simplement, écrire demande du temps et un espace où réfléchir et travailler, temps et lieu que les femmes n'avaient tout simplement pas la possibilité d'avoir à cause du patriarcat. Il y a plein d'autres petites choses à picorer: j'y ai appris que le test de Bechdel est en fait inspiré de ce livre !
Le livre est agréable à lire de bout en bout, je ne l'ai pas lâché en trois jours. C'est plutôt bon signe.
Virginia Woolf explores the topic of "Women and Fiction". She describes a fictionalized research into this topic where she entertainingly experiences examples of her talking points during research. This style is very entertaining and makes it a breeze to read through this little essay.
In addition to her funny writing she's also making points that are sadly still relevant today. It's nothing advanced, but I'd say it's one of the best introductory texts into feminism.
Review of "A Room of One's Own (Penguin Modern Classics)" on 'Goodreads'
4 stars
Brilliant method to addressing gendered domains. Woolf provides a great picture into the unequal footing men and women have at every stage of life, and explores the idea that what society considers important or historic may be what only men consider important.
I love how she attacks arguments head-on and re-scopes existing commentary on women, while asking her own interesting questions. It's difficult to think that someone could read Woolf and not come away a feminist.
Review of "A Room of One's Own (Penguin Modern Classics)" on Goodreads
4 stars
Why has so much intellect and treasure gone into producing property, education, and theories of superiority to justify the exclusion and suppression of women from society. It's a disservice to summarize this evocative essay of independence as a demand for women-controlled space and income.
Re-reading this amazing piece by Woolf was as good, if not better than when I first read it years ago. Woolf makes a strong case for women to seek their economic and through this their creative freedom, and she does it in her inimitable style.