It's the twenty-fifth century, and advances in technology have redefined life itself. A person's consciousness can now be stored in the brain and downloaded into a new body (or "sleeve"), making death nothing more than a minor blip on a screen. Onetime U.N. Envoy Takeshi Kovacs has been killed before, but his last death was particularly painful. Resleeved into a body in Bay City (formerly San Francisco), Kovacs is thrown into the dark heart of a shady, far-reaching conspiracy that is vicious even by the standards of a society that treats existence as something that can be bought and sold. For Kovacs, the shell that blew a hole in his chest was only the beginning.
i don't know why this has been such a painfully long, boring experience for me; should have been exciting, it's a neo-syberpunk with a detective story plot, after all? but there you have it: boring :-/
At first I was kind of put off by the noir-style narration but once I got over that, it is a fun story in a very interesting cyberpunk setting. There are quite a few surprising twists and reveals which kept me guessing until the end. If you like crime novels and/or cyberpunk, you'll probably enjoy this.
I really enjoyed this book. An hard-boiled, engaging story which aligns with the themes and the style of its genre, but succeeds at the same time in creating something really unique. Language is simple, straight to the point; explicit at times, but under no circumstances vulgar. A Dense, intricate plot, a crescendo of suspense.
C'est étrange comme on peut avoir un ressenti totalement différent sur le même livre à quelques mois d'intervalle. J'avais essayé de lire ce roman au début de l'année et j'avais renoncé après en avoir lu la moitié. Cette fois, j'ai été captivé par le récit dès le début et malgré une petite baisse d'intensité au milieu, j'ai tenu bon et j'ai pris dans cette deuxième lecture un plaisir que je n'avais pas connu la première fois. Comme quoi, il est parfois bon de laisse une seconde chance à un roman qui nous a déçu mais dont on perçoit un potentiel à côté duquel on est peut-être passé la première fois. C'est bien le cas ici, sans que je comprenne bien pourquoi. Sans doute une question d'état d'esprit au moment de la lecture.
Première critique après une première lecture :
Altered Carbon est …
Mise à jour après une deuxième lecture :
C'est étrange comme on peut avoir un ressenti totalement différent sur le même livre à quelques mois d'intervalle. J'avais essayé de lire ce roman au début de l'année et j'avais renoncé après en avoir lu la moitié. Cette fois, j'ai été captivé par le récit dès le début et malgré une petite baisse d'intensité au milieu, j'ai tenu bon et j'ai pris dans cette deuxième lecture un plaisir que je n'avais pas connu la première fois. Comme quoi, il est parfois bon de laisse une seconde chance à un roman qui nous a déçu mais dont on perçoit un potentiel à côté duquel on est peut-être passé la première fois. C'est bien le cas ici, sans que je comprenne bien pourquoi. Sans doute une question d'état d'esprit au moment de la lecture.
Première critique après une première lecture :
Altered Carbon est le premier tome d’une trilogie de romans de l’écrivain britannique Richard K. Morgan. J’ai découvert cette oeuvre à travers son adaptation en série TV par Netflix : j’avais trouvé cela sympathique sans en garder non plus un souvenir inoubliable. Malgré tout, la lecture récente du jeu de rôles Eclipse Phase, inspiré notamment de l’imaginaire décrit par Richard K. Morgan dans Altered Carbon et ses suites, m’avait donné envie de plonger dans la trilogie.
Il faut d’abord avoir conscience d’une chose : Altered Carbon est un polar dans un univers de science-fiction transhumaniste. Dans ce futur imaginé, l’esprit d’un être humain peut être numérisé et transféré d’un corps à un autre : la mort n’est vraiment réelle que si on efface toutes les sauvegardes de l’esprit d’une personne. Les plus riches passent sans cette d’un corps à un autre et peuvent ainsi vivre jusqu’à trois siècles, quand les plus pauvres doivent travailler toujours plus dur pour disposer d’un corps correct.
Je dois également faire une remarque sur la structure du livre : contrairement à de nombreux romans parfaitement calibrés avec des chapitres de taille quasiment identiques, généralement entre 10 et 15 pages, celui-ci varie les plaisirs : certains chapitres atteignent tout juste 10 pages quand d’autres dépassent les 20 voire 25 pages. C’est déroutant quand on est habitué aux productions littéraires récentes où tout est finement calculé pour plaire au plus grand nombre, et c’est suffisamment notable pour que je le signale ici.
Malheureusement, un polar dans un univers de science-fiction reste un polar, et c’est un genre qui ne m’a jamais vraiment plu. Si j’ai aimé certains romans policiers old-school (Agatha Christie a bercé mon adolescence), j’ai toujours du mal avec les polars, leurs ambiances sombres et poisseuses, et les enquêtes qui avancent péniblement avec un détective plus ou moins antipathique.
Après avoir tenu plus de la moitié du livre, j’ai fini par renoncer. L’univers décrit par l’auteur est passionnant, il donne envie d’en savoir plus, mais le récit m’a littéralement ennuyé. J’ai tenté péniblement de passer outre en poursuivant ma lecture mais j’ai fini par me résoudre à abandonner, constatant avec amertume que ce livre n’est pas fait pour moi.
Je ne peux même pas dire que c’est un livre raté, ou de mauvaise qualité. Je suis bien incapable de juger s’il s’agit ou pas d’un bon polar. Par contre, je peux dire que le décalage – sans doute voulu par l’auteur – entre l’univers très inventif et le récit très classique n’a pas produit chez moi les effets désirés.
One of the few cases where I come to a book after seeing a movie or TV show, and one of the seriously few cases where I like both pretty much equally, and am cool with how the overall divergence between the two got assembled.
Not my normal speed for writing style, but the world and character building were a hell of a lot of fun.
The central idea of the book is great, that is, in the future we are able to transfer our minds into other bodies (sleeves) and that permanent death is not so common anymore. I enjoyed the world building, a kind of dystopian future where crime is everywhere and there are powerful corrupt people involved in government and security issues. The plot of the book starts well as Kovaks, the anti-hero protagonist is appointed to carry on an investigation about the supposed suicide of a very rich and powerful man. The plot slowly becomes very intricated, and I confess that by the end of the book everything seemed way to complex for me to grasp.
I was more interested in exploring the "humans as data" speculation than ticking off the noir essentials (hardbodied femme fatales, covered up depravities, a suffering gumshoe, etc), but the book gets around to all of it with solid writing. It may even manage to exaggerate a genre that embraces exaggeration to begin with.
A decent science fiction/noir thriller which is a little long, perhaps. The most interesting parts are the speculations about the role of human embodiment, rather than the more predictable plot.
I almost rated this 2 stars. There were some parts I liked, and others I didn't. Particularly, I felt like sex was overused in the book. To me, it felt like it was used as an excuse to say "Hey, this is an ADULT book!!!" when instead, it took me out of the story. I really enjoyed the mystery aspect of this book, though that's not surprising since I'm a fan of mysteries.